Une lettre fut laissée pour Mayah, accompagnée d’un petit coffret dans lequel se trouvait la chemise qu’elle lui avait prêtée.Demoiselle Mayah,
Merci pour le prêt du bien que je vous rends présentement. Quelques soucis de famille m’obligent à retourner dans ma cité natale, ainsi que d’autres raisons.
Elhylde vient avec moi, ne vous inquiétez pas de son absence : si elle ne vous a pas prévenue, c’est parce que le départ est précipité.
Respectueusement,
Adûnaru.
Une autre lettre attendant Ceorl à la banque.Ceorl,
Suite à un problème de famille, je dois retourner là où je suis né. D’autres problèmes s’y ajoutant, mon départ est quelque peu précipité.
Elhylde vient avec moi, je lui ai laissé le choix. Ne t’inquiète pas pour elle, je veillerai à ce qu’elle ne manque de rien.
Adûnaru.