O, Umbar... grande et fière.
Je suis meurtri dans mes rêves,
De te croire mise à terre,
Et plus je pense à toi, plus tu tournes à mon aise.
O, Umbar... Peu importe où je serais.
Ne cesse jamais de me cueillir,
Ta berceuse m´empli de regret,
De n´avoir pu prévoir le pire.
Si je puis encore me réjouir,
En ton sein, frémir,
Nul et aucun ne m´en ferait partir.
O, Umbar... belle et hardie,
Tout homme qui défend ta vertu,
En son poing serré tenait sa lame brandit,
Et dans sa poitrine avait le coeur résolu,
O, Umbar... Figure tragique,
Toujours tu m´es revenue,
Mais cette fois ci est unique,
Je crois que tout est perdu.
Si je puis encore me réjouir,
Et en ton sein, frémir,
Nul et aucun ne m´en ferait partir.
O, Umbar... libre et sans gouverne,
Je sais que tes murs tomberont,
Comme tant de braves que l´on enferme,
Je suis désolé pour les affronts qui de toi eurent raison,
O, Umbar... mon sacrifice.
J´étais présent sur tes remparts et j´y suis mort,
Tu me pardonneras, je le sais, si mon service,
N´as gardé au large les hommes du Gondor.
Mais si jamais je puis encore me réjouir,
Et de nouveau en ton sein, frémir,
Nul et aucun, jamais non jamais ne m´en ferait partir.
Et bien je voulais simplement dire que c'est bien de voir des poèmes et que je le trouve sympa; comme tout le reste du texte d'ailleurs
J'trouve qu'il y a trop peu de poèmes - je contribue pas! - et c'est toujours agréable !
