Aux dernières nouvelles, ça fonctionnait parfaitement pour tink.

Bonne journée gang!

Lol! À mon nom, Eve Charest-Déry, demain soir à 18h30 pour 8 personnes. Là juste pour être sûre, tout le monde est majeur, hein?

Voronwë: Moi je veux bien, j'ai rien pour les contacter, sauf que je pense que Sandor les connaît, peut-être qu'il peut le faire. Mais je vais leur envoyer des messages en mp ou par courriel si leurs adresses sont disponibles dans leur profil et je vais réserver pour 8 au cas où, mais si c'est vous les avez sur MSN ou sur Skype ou sur Facebook, ne vous gênez pas pour leur en parler. Ou si tu veux t'en occuper toi-même Voronwë, je pense que plus on est de fous, plus on rit.

Pierrot: Je vais m'informer et faire mon gros possible.

Message édité: Je leurs ai envoyé l'information sur leurs courriels respectifs et par mp, donc la balle est dans leur camp. J'ai aussi laissé le numéro de mobile de Telu et le mien pour qu'ils puissent nous joindre durant la soirée, donc je pense pas pouvoir faire plus de ce côté-là.

Je vais faire une réservation dans les jours qui viennent pour 6 considérant: Moi, Telu, Sandor, Gabien, Voronwë et Erynn, qui étaient les principaux intéressés.

Nous aurions donc rendez-vous à 18h30, ce samedi, au Pub St-Alexandre

http://www.pubstalexandre.com/
1087 rue St-Jean, dans le Vieux-Québec

Vaste sélection de bières pour les amateurs et ambiance chouette.

Si d'autres personnes veulent se rajouter, confirmer ou infirmer leur présence, c'est le temps de le dire!

Je suis allée regarder pour le Hobbit, et il n'y a pas de prix sur les menus du soir et les menus midi sont déjà dispendieux, alors je suis pas convaincue. Ma préférence reste le St-Alex puisqu'on peut y souper et rester prendre un verre.

Je propose donc le St-Alex à 18h30. Je conviens que vous connaissez pas nécessairement le Vieux et plein d'autres raisons, mais là ça serait bien une réponse définitive genre. Oui le St-Alex me convient, je serai là pour souper ou juste pour la bière et 18h30 c'est bon pour moi.

Donc pour l'instant moi et Telumethar on vote pour le St-Alex 18h30. (J'espère qu'il m'en voudra pas, le pauvre.)

Vous autres, secondez-vous?

Donc où allons-nous souper dans le Vieux? Où allons-nous boire après? Et où nous rejoignons-nous en début de soirée? Nous pourrions peut-être aller au Pub St-Alexandre sur la rue St-Jean ou à La Crêpe Bretonne? Sinon je pense qu'il y a aussi un bon petit restaurant Afghan pas loin des murs. Nous pourrions nous rejoindre directement au restaurant choisi vers 18h30? Aussi, ce serait bien de réserver. Pour la bière après la bouffe, je en sais pas trop, que suggérez-vous?

Pour Telumethar: Le St-Alex, c'est pas le resto où tu ne veux plus jamais retourner, c'est l'autre avec un foyer où on était allés souper en amoureux.

Donc on aurait qui pour le souper? Moi, Sandor, Telu, Gabien? Voronwë, tu viendrais ou pas? De mon côté j'en ai parlé à Erynn et j'attends votre décision sur le lieu pour lui donner le plan de match.

Telumethar est revenu!    On va sûrement jouer un peu plus cet été maintenant que mon joueur préféré (Désolée Roux) est revenu. Mais ça risque d'attendre après le 10 juillet, le temps que je finisse de travailler et qu'on installe notre appartement.

La chemise à manches longues aussi. Mais j'aime bien le nouveau gump de la chemise à manches longues, seulement... ce serait bien que le pan qui tombe soit devant et non derrière les pantalons. Pour le kilt je suis un peu triste aussi... Snif snif

Un petit bout de papier enveloppé d'un ruban mauve est laissé à la forge d'Edoras.

Cher Normad,

des circonstances indépendantes de ma volonté m'ont forcée à quitter le Rohan pendant quelques lunes, j'espère que vous avez eu le temps de préparer ma commande pendant ce temps, les 5000 lingots tel que je vous les avais demandé. La somme promise vous attend sagement dans mon coffre si vous avez tenu votre part du marché. À bientôt,

Elhylde

Une missive est laissée à la banque à l'attention de Mayah. Du papier au parfum de jasmin et un ruban mauve...

Ma douce amie,

Je suis enfin rentrée sous le soleil du château d'or après cette trop longue absence. Il me faut vous expliquer la raison de ce départ précipité et beaucoup d'autres choses encore avant que je ne parte pour ma campagne aimée. Je dois aussi voir Ceorl, mais je veux vous parler auparavant, car je redoute son tempérament fougueux et la colère avec laquelle il risque de m'accueillir. Je cherche les mots et je crois que pourrez m'aider à les trouver. Pendant mon absence, j'ai fabriqué un petit quelque chose pour vous, que j'ai bien hâte de vous remettre.


Je ne peux que compter les secondes jusqu'à nos retrouvailles,

Elhye

Dans la chic auberge de Taidoroth, une jeune femme griffonne, allongée sur son lit.

Elhylde repense à la conversation qu'elle a eue avec Miya, juste avec son départ précipité pour cette île extraordinaire. La jeune femme lui a bien dit qu'elle ne devait parler de tout cela à personne et particulièrement pas à Adûnaru... Quel était cet étrange cercle où l'on voulait inclure la jeune femme. Miya l'avait prévenue des souffrances qu'elle aurait à endurer si elle acceptait d'être initiée par cette femme - Comment s'appelait-elle déjà? - Yoshebeth.

Depuis qu'Elhye avait rencontré Adûnaru, elle commençait à se faire à ces bassins de mystères qui enveloppaient les gens qu'elle rencontrait. L'émerveillement des premiers instants remplaçaient maintenant une soif de connaître la vérité... Sa curiosité était piquée au plus au point par cette organisation et Elhye regrettait un peu de n'avoir pu parler à la vieille femme avant de partir. Sans doute Eïlenel avait entrevu quelque chose en la jeune femme lorsqu'ils avaient eu cette discussion philosophique avec Adûnaru sur la terrasse de la taverne. Elhye se demandait ce que la vieille femme avait remarqué en elle pour lui faire aussi rapidement une proposition aussi sérieuse.

Décidément, Elhylde devrait avoir une discussion avec la vieille femme à son retour. Quand elle reviendrait... D'ici-là, elle devait éviter d'en parler à Adûnaru et pourtant elle avait du mal à lui cacher quoi que ce soit. Il avait une telle emprise sur elle... Il l'envoûtait et la faisait rêver et Elhye avait la constante impression de vivre un rêve, d'être désincarnée de son propre corps et de voir agir une autre jeune femme. Qui était cette poupée rousse qui enlaçait fougueusement son amant? Qui était cette jeune femme qui ne semblait plus redouter le danger du moment que son bien-aimé veillait à ses côtés?

Elhye délaissa son carnet et se tortilla jusqu'au bord du lit. Elle posa ses pieds sur le plancher et glissa pieds nus jusqu'à la coiffeuse. Elle s'assit devant le miroir et fixa son reflet un long moment dans le miroir, cherchant dans le gris aqueux de ses yeux la réponse à toutes ce voies qui s'offraient à elle. Mais les eaux demeuraient silencieuses et Elhylde ne trouva dans le miroir de son âme aucune solution à ses doutes.

Danse, danse petite marionette, pendant qu'on tire tes ficelles... Le Mage noir, Adûnaru et Eïlenel, tous te feront danser!

Hihihihi. ^.^

Trop impatiente de lire la suite et de savoir ce que ces visages frippés ont en tête pour moi! Et j'aurais aimé savoir ce qu'elles disent au sujet d'Adû!!! Vivement la suite Elsie!!! *Saute sur place comme un lapin*

Une missive est renvoyée à Edoras en réponse, mais cette missive-là a le temps de prendre la poussière dans le coffre de la jeune joaillière. La lettre a été écrite avec soin, mais la personne qui l'a rédigée n'est vraisemblablement pas un scribe ou un poète, puisqu'elle est constellée de fautes et d'irrégularités dans la calligraphie.

Ma cher Elhye,

ta visite rend ta mère et moi très heureux et nous avont très hâte de te revoir enfin. Ton frère est curieux de connaitre ton fiancer et s'il ne peux t'acompagner, nous essairons bientôt de venir te voir à Edoras pour le rencontré. Soit par contre consiente que tu es une jeune fille respectable et agit en conséquance. Ton lit est déja près et ta mère se meurt de te revoir.

Arrive bientôt,
Ton père qui t'aimes,
Eldras

Sur une île très éloignée d'Edoras... Une jeune étrangère, assise au bord de l'eau écrit dans ce même carnet qu'elle traîne avec elle depuis un certain temps.

La route lui avait semblé si courte d'Edoras à Taidoroth... Elle avait l'impression d'avoir fait tout le chemin en un seul battement de cils, et pourtant, elle se souvenait, autant qu'elle le pouvait, du trajet qu'ils avaient pris jusqu'aux côtes d'Anfalas, puis de là par bateau jusqu'à l'île. Pourtant, ses souvenirs de Minas Tirith, où ils étaient arrêté, demeuraient vagues, de même que pour d'autres moments du voyage. La nervosité et le surmenage y étaient sûrement pour quelque chose.

Aimait-elle Taidoroth? Elle n'étais encore sûre de rien. Comme elle l'avait dit à Adûnaru, elle aimait la beauté époustouflante de cet endroit, mais il lui était impossible de sortir de la ville portuaire sans être accompagné de son fiancé, rencontrant toujours au tournant une créature effrayante ou un autre danger pouvant menacer sa vie. Pourtant, Taidoroth ne manquait pas d'attraits... La végétation était luxuriante et les animaux nombreux. La vue sur la vaste étendue bleue était à couper le souffle, mais par moment, Elhye aurait échangé toute l'eau de la mer contre un seul brin d'herbe du Rohan.

Un étrange sentiment se formait peu à peu en elle-même... L'impression que la Elhye de toujours n'avait pas sa place sur cette île, et qu'une autre, une autre peut-être y serait heureuse. Elle était déchirée entre l'amour d'un homme qui lui offrait tout et la terre qui lui avait tout donné. Comment choisir entre un passé heureux et un avenir incertain aux reflets miroitants? Iômiel... C'est ainsi qu'Adûnaru avait appelé celle qu'il avait connu sous une belle nuit étoilée dans les plaines vertes et contre qui un soir il s'était endormi sur le tapis de mousse d'une jungle silencieuse. Une étoile parmi d'autres et pourtant... Elhylde se sentait devenir différente et était effrayée tout en étant intriguée par ce changement.

D'un autre côté, la vieille Eïlenel ne lui avait-elle pas offert de la prendre sous son aile et de l'initier à une chose formidable et dangereuse? C'est ce que Miya avait dit, le jour où Elhylde avait tout quitté puisque l'intégrité d'Adûnaru était compromise. Dans cette ville de bord de mer, Elhye n'était plus certaine de la route à prendre. Elle passa sa main sur son ventre en ressentait ce doute obscène qui la tiraillait de temps à autre. Un pas familier qui venait à sa rencontre interrompit son écriture et elle oublia de nouveau les raisons qui faisaient que parfois, dans la pâleur du matin, des larmes silencieuses glissaient sur son visage de poupée.

Une missive arrive avec le courrier qui fait sa route dans tous les petits villages éloignés de la Cité. Une lettre au papier et au parfum familier parvient chez Eldras, fils d'Eldoran, fier cultivateur du Rohan. Assis à sa petite table en bois, il lit lentement la lettre écrite par son enfant chérie, alors que son épouse reprise des chaussettes.

Mes biens-aimés parents,
Je vous écris d'Edoras où vous me savez depuis plusieurs semaines déjà. J'y mène une vie paisible et agréable, mais vous me manquez. Il y a de nombreuses choses dont je dois vous parler et c'est la raison pour laquelle je vous rendrai visite prochainement à la maison. J'ai fait la connaissance d'un homme bon et qui vous plairait à tous les deux, même s'il n'est pas d'ici. Il s'appelle Adûnaru et vient d'un village au sud d'Umbar. Il me fait la cour depuis quelques temps déjà et nous projetons de nous fiancer. Mais je ne saurais le faire sans la bénédiction de mes parents chéris, et c'est ce que je viendrai chercher en venant vous rendre visite. Il a de somptueux présents à vous offrir que j'amènerai avec moi, puisqu'il ne pourra m'accompagner, étant retenu par des affaires urgentes à Edoras. Je vous expliquerai toutes ces choses plus en détails bientôt, n'ayez crainte.

Je vous aime.



Votre Elhye

J'adore les armes, mais ça ça serait pour une race en particulier? J'ai manqué un bout...

Le pigeon revient vers Mayah, portant encore une fois un message dont la facture est désormais familière à la jeune femme.

Ma chère Mayah,

Je crois que pour notre petit pique-nique je préférerais que nous soyions seules, histoire d'apprendre à nous connaître sans se sentir gênées dans nos propos par la présence d'un homme. Je dirais que ma relation avec Adûnaru est une chose assez récente et je me sens peu à l'aise de lui demander de m'accompagner, mais sans doute nous aurons l'occasion bien assez tôt de manger tous les quatre, puisque vous me parlez de Ceorl, j'en déduis qu'entre vous et lui les choses se sont développées? Remarquez, Ceorl est un frère pour moi et je serais bien aise qu'une dame comme vous partager sa vie.

Pour ce qui est de Miya, oui je vous ai effectivement confondue avec elle. J'avais du mal à dormir et il était tard et j'ai remarqué une jeune femme qui s'entraînait. Voyant le jour des incidents mystérieux que vous connaissez, vous aviez eu une attitude si fonceuse que je croyais que vous saviez vous battre et donc j'ignorais que c'était Miya. Vous faites bien de me prévenir à son sujet et je ne serai que trop prudente. Certains choses dont je vous parlerai lors de notre petite sortie en plein air expliquerons sans doute les raison qui m'ont malencontreusement poussée à avoir une altercation avec cette dame. Je crains donc que vos conseils à son égard ne soient que trop judicieux, mais je ne doute pas qu'elle mérite d'être connue si vous en jugez ainsi.

Je voulais encore une fois vous remercier pour la magnifique toilette que vous m'avez offerte le soir où nous devions aller marcher et discuter avec Ceorl. Je n'ai jamais rien possédé de tel et je n'en reviens pas que vous m'ayez fait un si somptueux présent. Quand j'en aurai le talent, j'aimerais à mon tour vous offrir des bijoux pour agrémenter les si merveilleux vêtements que vous savez fabriquer.


En attendant de vous reparler ou de recevoir votre prochaine missive, agréez toute mon affection,

Elhye

Un petit papier est attaché à la patte du petit animal, qui s'est gavé de pain pendant que la jeune femme écrivait à sa place. Le papier embaume le jasmin et la pâte qui a servie à le fabriquer à été mélangée à des pétales de fleurs séchés. Elle est enveloppée d'un joli ruban mauve

Ma chère Mayah,

je suis bien aise de voir que vous prenez le temps de m'écrire et je suis tout aussi navrée de voir que notre petite balade n'a pu avoir lieu au bord de la rivière. Si vous le voulez, nous pourrions d'ailleurs aller prendre notre thé près de là sous quelque arbre confortable aux racines couvertes de mousse. Je ne vous crois pas effrontée de me poser une telle demande et je serais enchantée d'apprendre à vous connaître. Je pourrais par le fait même vous expliquer un peu mieux de quoi il retourne avec Adûnaru et vous raconter une mésaventure qui m'est arrivée avec une dame, Miya, que j'ai prise pour vous.

Avec toute mon amitié que je sens grandir pour vous,

Elhye

Une nouvelle missive est laissée au poste de garde. L'écriture est beaucoup moins soignée que sur la précédente lettre, comme si elle avait été écrite à la hâte sur le coin d'une table

Bonjour Ceorl,

j'aurais besoin de te parler de quelque chose d'important. Je ne sais pas à qui me confier à part toi, tu es le seul véritable ami que j'aie à Edoras. Il s'est passé quelque chose et j'aimerais t'en parler, mais je ne veux risquer que ma lettre soit lue par quelqu'un d'autre. Tu n'as jamais répondu au petit mot que je t'avais envoyé et l'autre soir tu semblais plutôt occupé avec ton entraînement. En fait, c'est de ce soir-là et du lendemain dont je veux te parler. Il y a des choses que tu dois savoir, car je pense que tu sauras me conseiller,

Je t'en prie, toi qui a toujours été un grand frère pour moi, ne me refuse pas ton soutien quand les miens sont si loins,

Elhye

Quelques gouttes d'eau ont mouillé le papier.

Une missive est laissée au poste de garde d'Edoras à l'attention de Ceorl. Le papier embaume le jasmin et la pâte qui a servie à le fabriquer à été mélangée à des pétales de fleurs séchés.

Ceorl,

avec les événements des derniers jours et la baveuse qui court, je suis inquiète de toi, surtout que je ne t'ai pas revu.

Je t'en prie, donne-moi de tes nouvelles, tu me manques.

Avec toute mon affection,

Elhye

Ceci est une histoire arrivée près d'Edoras à une jeune femme nommée Elhylde.

Le char du soleil terminait sa course derrière les plaines, et un drap d’étoiles recouvrait peu à peu la voûte bleue du ciel. Assise dans sa chambre à l’auberge, Elhylde, fille d’Eldras, apportait la dernière touche à sa robe quand elle jeta un œil à la fenêtre. Elle devait faire vite, on l’attendait sans doute déjà dans une petite maison non loin de là. Elle se para de ses plus beaux atours et replaça son épaisse chevelure rousse.

   Elle sortie des palissades rassurantes d’Edoras pour parvenir à une petite maison qui se trouvait à quelques pas seulement de la grande porte. Elle s’approcha de la demeure et allait cogner à la porte, mais Gelrond la rejoint avant qu’elle pu heurter son poing contre la surface lisse du bois.

- Je m’éloigne un instant de ma maison et c’est là que vous arrivez!

   Elle lui sourit et ils entrèrent ensemble dans la chaumière formée d’une seule et vaste pièce. Les meubles, confectionnés par le Rohir, étaient splendides, mais l’endroit avait tout d’une garçonnière. Certes, l’alcool ne semblait pas manquait ni les sièges confortables pour s’y asseoir et Elhylde admira le mobilier soigneusement confectionné et surtout le bois de saule dans sa pâleur lunaire. Les eux Rohirrim mangèrent et burent copieusement et la discussion dériva sur le métier de la jeune femme qui s’empressa de montrer son savoir-faire en confectionnant des bracelets pour son hôte. Il lui offrit en retour un superbe bâton de ce bois blanc qui fascinait tellement Elhye et, ne pouvant être en reste de tant d’hospitalité, elle décida de lui faire un second présent pour décorer l’intérieur si masculin du menuisier.

   Voulant s’essayer à manier le bâton ouvragé, la jeune Rohir manqua de tout renverser dans la demeure et décida, par prudence, d’aller s’entraîner dans son art guerrier à l’extérieur. C’est là que Gelrond, l’ayant suivie pour l’observer, remarquant un majestueux cheval noir qui se baladait le long du mur de sa maison. C’est à maintes reprises que l’homme tenta d’approcher l’animal, par surprise ou encore à l’aide de fruits, mais ce fut toujours sans succès. Elhylde l’avait observé un moment, mais avait surtout concentré son attention sur le superbe animal et avait décidé de s’éloigner un peu, se rapprochant d’un champ de coton. Elle se mit à fredonner un peu, comme elle le faisait sur la femme de son père, lorsqu’elle voulait apaiser un animal, elle qui était si peu habile avec les êtres à poils ou à plumes.

   Sa voix claire et juste s’éleva dans l’air frais du soir tandis qu’elle frottait le gazon déjà humide de ses chaussures.


   Le superbe destrier s’était approché de la jeune femme qui chantait, par curiosité sans doute ou par fascination pour la mélodieuse balade qui sortait du seuil de ses lèvres et qui s’envola dans la pénombre. Il alla même assez prêt d’elle pour tenter de goutter un plan de coton qui lui laissa une désagréable surprise et après avoir écouté la Rohir encore un moment, satisfait, l’animal s’éloigna dans la plaine grisonnante en trottinant.

   Elhylde, complètement mystifiée, regarda l’animal s’éloigner, sentant presqu’encore la chaleur de la bête qui l’écoutait si près. Elle regarda les plans de coton là où l’animal s’était approché et cassa une branche où des bouts de crin s’étaient emmêlés. Elle glissa le précieux objet dans son sac et retourna auprès Gelrond qui semblait presque aussi fasciné que le cheval noir. Ils avaient encore discuté, lui et la jeune femme dans l’air humide du début de la soirée et dans sa bienveillance, ou alors peut-être espérait-il quelque dénouement auprès de la jeune dame, mais Gelrond lui offrit un jeune étalon, que dans son excitation, Elylhde s’empressa de lancer au galop dans la plaine.

   Alors que le vent frais fouettait son visage et que ses talons martelaient les flancs de l’animal courant à vive allure sur l’herbe, Elhylde aperçu au loin une forme blanche, qui courrait aussi, légèrement comme l’air. Elle suivit la silhouette et parvint jusqu’à un arbre qui surplombait une tombe. Là, la silhouette flottante et gracieuse qu’elle avait vu et suivie, s’avéra être un second cheval, pâle comme la surface lustrée d’une perle, fier et noble symbole des Rohirrim : un Meara. Le cheval fixait avec intensité la pierre de la tombe, quand Elhye mit pied à terre. Silencieusement, elle retira ses bijoux, sa jolie robe et ses chaussures et posa son sac par terre, s’avança, vêtue de ses jupons uniquement vers le cheval à la si pure robe.

   Elle s’assit sur le sol humide et se remit à fredonner, une chanson différente cette fois de ce qu’elle avait chanté pour le cheval noir. De nouveau, l’animal s’approcha doucement. Le Meara hennit et s’ébroua après avoir écouté un instant la jeune femme et s’enfuit au galop dans la nuit qui était maintenant bel et bien arrivée. Elhylde se releva et sans même prendre la peine de revêtir sa cape ou ses chaussures sauta en selle et poussa son cheval à galoper vers les lumières de la cité, en jetant un dernier coup d’œil attristé vers les plaines redevenues paisibles.

@ Eo: Promis mon cher! Je vais venir me plaindre avec une giga affiche devant chez toi!

@Roux: Pis si t'es chanceux tu vas même pouvoir RP avec moi sur table dans un avenir rapproché!!!

Salut à tous!

Suite aux vacances de Telumethar au Québec, ce petit vaurien m'a redonné la piqûre de passer des heures à bûcher dans une forêt et faire du RP avec ma bande de vous autres. Je suis donc en train d'installer UO et Turambar sur mon Mac pour venir vous rejoindre! Il y a encore quelques petits bogues, mais je serai bientôt parmi vous mes amis!

Maeve

Bonjour à tous!

Bon bon, je m'ennuyais c'est bien vrai, mais comme je suis passée du côté blanc de la force, je ne peux malheureusement plus jouer à Ultima Online et encore moins sur Turambar. Sachez seulement que ces heures de geekage de la mort me manquent et que j'espère avoir le plaisir de revenir vous saluer en ligne dans un avenir rapproché... En cambriolant le portable de quelque membre du staff par exemple... Bref, tout ça pour dire que j'espère que vous vous faites beaucoup de plaisir! Je reviendrai, je le jure, mais d'ici-là, j'ai Sartre, Saussures et Barthes qui pleurnichent sur mon bureau en espérant que je daigne les lire,

Allez, va, je dois aller m'occuper d'eux,

J'embrasse ceux que j'ai connu et je salue les nouveaux,

Eve de BlanchePlaine
Écuyère de la Marche
Tendre amie de Feu Falretir

Je dois dire qu'effectivement, le concert des Fausses Notes était assez mémorable. On a pu apprécier pleinement les talents d'artiste de certains membres de la Marche.

Pour ce qui est des combats de chatouilels avec Ingold et Elysa, c'est dur d'être plus claire; On se courait simplement après dans la maison d'Elysa pour se chatouiller mutuellement... comme des enfants de 4 ans finalement!:P

Moi le moment le plus drôle que j'ai vécu jusqu'à présent avec Eve, ce sont les nombreuses et plutôt rigolotes scéances de chatouilles entre Ingold, Elysa et Eve. Voir Elysa jouer le zombie, c'est aussi plutôt cocace.

Moi je me ferais volontier une NN juste pour voir c'est quoi avoir Hermack dans le mêm camp.

Très bon texte, je lis rarement les backgrounds des joueurs, mais celui-là j'ai eu raison de le lire, il est très bon. Ça m'explique mieux pourquoi Hermack est aussi agréable qu'une coup de claymore dans l'aorte.

Au plaisir de lire la suite!

Cependant l'idée du conteur est bien, je crois. Il pourrait nous réciter des contes et légendes (abrégés) de Tolkien et en plus de permettre des scènes RP, cela augmenterait les connaissances sur le monde de J.R.R. Tolkien de beaucoup de monde. Je crois que l'idée avait été amené sur le tapis voilà un moment, mais si on ne met pas trop de conteurs, cela pourrait être acceptable point de vu lague, non?

Tu n'as qu'à aller chez le coiffeur, dire coiffe et tu sélectionnes la coupe désirée. Assures-toi seulement d'avoir de l'argent sur toi à ce moment, car sinon ça ne marchera pas. J'ai déjà fait l'erreur moi aussi.

Par chance il y avait un coiffeur dans les parages,

Maeve

*Voue un culte à Erynn*

Je sais pas comment elle a fait pour créer ces couleurs, mais pour les heures passées à leur confection tu mérites une médaille!

Elles sont superbes, elles ne seront sûrement pas toutes disponibles en jeu, mais tu as fait un excellent travail!

Erynn! Grande MJ!!!

*S'agenoue*

Je veux des beaux bruns!!! À l'époque médiéval il y en avait plein de brun, enfin... Tout était brun. Alors je veux du brun!!!

*Se relève*

Sinon... Moi j'aime bien l'idée d'avoir une ou deux couleurs effet satiné.

Lâche pas Erynn!

J'y compte bien!

Merci!

*Pense au perso qu'Erynn ne se fera pas* Ha flûte alors!

Pour les autres merci beaucoup. Je n'aimais pas écrire mes aventures en forum de peur de devenir lassante, mais vous me donner le goût avec vos commentaires d'écrire plus souvent les péripéties de l'humble et unique écuyère de la Marche.

J'espère que mon animation ne va pas à l'encontre des bases de Tolkien, mais si Baradon le dit, c'est déjà encourageant.

Merci Jedi!

J'ai posté mon texte dans Animations parce que c'est une animation personnelle (avec un grand public de quatre chevaux) que je préparais depuis plusieurs jours déjà. J'ose espérer avoir des avis constructifs. Chose certaine je me suis beaucoup amusée à préparer et à jouer ce rituel même si j'étais toute seule.

Au plaisir d'avoir des nouvelles de mon texte,

Maeve

*S'incline jusque la face dans la poussière*

Hermack géniale ton idée! Ça doit être fatiguant d'être aussi ingénieux que toi!^^

Je ne pourrai plus jouer à Turambar durant une période de temps qui n'est pas encore déterminée, pour la simple et bonne raison que mon papa adoré a supprimé UO de l'ordinateur... Enfin bref, tout ça pour dire qu'Eve n'est pas morte et qu'elle sera de retour dès qu'elle le pourra. En attendant, faites comme si j'y étais!:P

C'est ce que j'ai fait. Mais je vais le refaire un à un peut-être que c'est ça le problème. Merci de tes conseilles.

Merci Hithwen! J'ai essayé, je suis capable de me connecter mais mon fond à l'ouverture d'Ultima Online c'est la pierre grise et mon Paper Doll aussi est en pierre. Est-ce normal où là encore j'ai un problème?

C'est pas tant un bug en jeu car faudrait-il encore que je puisse me connecter. J'ai récemment réinstallé Ultima Online sur mon ordinateur et tenté d'installer le nouveau Pack. Mais quand j'ai essayé de me connecter j'en ai été incapable. Quelqu'un a une idée du pourquoi ou du comment?!? Parce que ça me met en   de ne pas pouvoir jouer...