Turambar

Rôle-Play - Quatrième Âge => Forum Missives => Discussion démarrée par: Menelosil le 2012-07-10, 12:00:16



Titre: A l'attention d'Okkirhos.
Posté par: Menelosil le 2012-07-10, 12:00:16
Une missive avait été envoyée à Okkirhos.

Salutations à vous,

J'ai le regret de vous annoncer que certaines parties de l'armure en bronze que vous m'aviez forgée n'ont pas résisté à mon dernier entraînement. Ne mettant pas en doute vos talents, je fais de nouveau appel à vous pour vous commander des jambes de plate ainsi qu'un heaume ouvert en bronze, afin de pouvoir reporter une armure complète.

Je vous attends à la Cité Blanche, mais sachez bien sûr que rien ne presse !

Au plaisir,

Menelthar.



Titre: Re : A l'attention d'Okkirhos.
Posté par: samsord le 2012-07-10, 18:36:21
Citation
Il me fera plaisir de vous forger de nouvelles pièces d'armure.
Je vous contacterez à mon passage a la cité.

Okkirhos.


Titre: Re : A l'attention d'Okkirhos.
Posté par: Kiribii le 2012-08-23, 09:41:16
Lainhel se réveille prés de la rivière où elle s’était endormie 2 heures durant. Personne aux alentours, pourtant les deux chevaux paissaient tranquillement l'un à côté de l'autre. Elle n'aimait pas les adieux. Ses affaires ayant séché, elle les enfila vite et décida de laisser une missive au banquier.

Citation
Très cher Okkirhos,

Je repars vers le sud où j'y fais quelques représentations

Nous nous reverrons à ma prochaine escapade à Pelargir ou à Minas ou si ma cape se déchire une nouvelle fois.

Au plaisir de vous revoir (le mien est dans tous les cas à chaque fois immense)

L.L.


Elle aspergea la lettre d'un doux parfum de lavande


Titre: Re : A l'attention d'Okkirhos.
Posté par: samsord le 2012-08-24, 02:32:24
Quelque temps auparavant, Okkirhos était allé méditer dans les bois près de Pelargir, sachant que les adieux seraient encore un fois très déchirants.
À son retour, la rive était tristement vide.

C'est le cœur lourd que le jeune Elfe passa près de la banque, le banquier accouru pour lui remettre un parchemin.
Avant même de l'ouvrir, il reconnu le doux parfum. Il se retira pour lire cette odorante missive.

C'est avec un sourire triste et résigné qu'il espéra qu'il arrive encore malheur à sa cape.