Turambar

Joli texte bien vivant.  :)

Sans chercher à polémiquer en faisant un rapport avec la vie IRL actuelle : le sujet global (la difficulté à monter dans l'échelle sociale) est très réaliste et ressort parfaitement ici à mon goût.
C'est un sujet que l'on retrouve souvent dans des films historiques ou dans des fictions se déroulant sous un régime féodal. A savoir que les petites gens se voient refoulées par les nobles déjà en place à la Cour, et ce malgré tout ce qu'ils peuvent faire de bien.

En tout cas on sent ici tout le mal être de la Dame. On comprend mieux ainsi le caractère si particulier du personnage qui est pourtant l'épouse de Sire Elethor, ce qui n'est pas rien dans tout le Gondor et tout particulièrement à Dol Amroth.

J'en connais un qui va avoir encore plus de pression sur les épaules ! Surtout quand il apprendra que son frère s'en fiche de lui ... :o

J'ai bien aimé le courant qui passe à travers le texte de Belgarion.

Ah ! tout d'abord merci. J'ai voulu écrire ce texte "à chaud" pour une fois afin de vraiment me souvenir de tout. Cette scène c'était de l'émotion à l'état pure, et en oublier une partie c'était transformer cette ambiance réussie et délicate. S'il est facile de jouer la joie ou la colère, ce n'est certes pas le cas de la tristesse, trop souvent on tombe dans la caricature.

Dans ce cas, la montée sociale est effectivement le thème majeur des ambitions d'Anarríma, mais si elle tient absolument à monter socialement, ce n'est pas pour elle ou pour sortir d'une misère, mais plutôt pour pouvoir égaler seule son époux. C'est (comme le disait Bertrand) la cause principale de son caractère si spécial, incluant des changements brutaux d'humeur quand elle s'aperçoit que le choses commencent à lui échapper.

Avec ce coup de butoir, elle s'aperçoit qu'elle n'a plus d'atout dans sa main, et qu'elle a perdu la partie. C'est l'esprit combattif qui meurt avec.

Pour le fait que "son frère se fiche de lui", là il faut vraiment voir ça avec le contexte de la discussion. Elethor ne se fiche pas de son frère, mais a mortellement (je pèse le mot) peur de perdre son épouse, une partie non négligeable de ce qu'il est, car Ríma est toujours à le soutenir et à le pousser au mieux. Il le sait (il en parle même). Reste à voir comment cette crise évoluera.

G.

P.S. Vu l'heure je m'étais trompé de compte où poster. C'est rectifié. Ce post est à créditer à Anarríma  et non à son conteur ;)

Joli !
Reste à voir comment va tourner la suite ...

Oui très sympa ce texte. Intéressant de pouvoir voir un sujet, tel que celui- ci, développé. :) J'attends la suite avec intérêt :)

Eh bien armez-vous de patience, il faudra qu'elle soit jouée ;)

Vraiment merci pour vos encouragements, ce n'est pas simple à jouer.

Vraiment beau texte! Et même si je ne fais qu'un passage éclair, j'ai pris le temps et surtout plaisir de le lire. J'ai laissé un petit commentaire sur ce qu'en pensait Baradon mais je peux l'effacer s'il n'a rien à faire là ^^
En tout cas, j'aurais tellement voulu pouvoir jouer une scène avec Rima...
Enfin, il est vrai que l'ascencion sociale est difficile surtout dans un monde féodal.

Mais tu en as eu l'occasion, Monsieur jouait le macho de base ;)
Peut-être que le Baradon actuel (c'est à dire celui qui a trouvé l'âme soeur) ne réagirait pas de la même façon.

en effet mon ami. J'ai eu l'occasion mais Baradon n'est  pas assez insensible pour ne pas être récpetif au désarroi de Rima en ce moment.

Il est une chose d'estimer que les femmes n'ont pas à entrer en chevalerie. Il en est une autre que Rima, après tous les efforts qu'elle a fait en soit rejetée!

Mais c'est vrai que sur ce point, Baradon n'est pas forcément un parangon de vertus, en tout cas de vertus actuelles. Point de parité pour les chevaliers!!! :p

Je précise que ce n'est pas parce qu'elle est une femme qu'elle n'a pas été prise.

J'ai lu le post Sire ! Mais, le problème avec Baradon était bien le fait qu'elle soit une femme. Raison de plus qu'il trouve injuste la raison évoquée, qui n'est pas celle qui lui posait problème.