L’apprentissage.

[Franky]

Minas Tirith était rempli à ce jour.  Le son dans les ruelles ricochait entre les murs de certains bâtiments  jusqu’à la fenêtre de sa chambre. Daphnée étudiait encore, la maison de guérison lui demandait énormément de temps. Depuis quelques semaines, lorsqu’elle finit par recroisé Lainhel et Lena, elle ce rendit compte à quel point elle pouvait perdre des occasions en or. Lorsque que le mouvement militaire vers le nord eux lieux, elle du réfléchir à ce qu’elle voulait réellement faire de sa nouvelle vie. Pendant longtemps, la jeune femme du apprendre des métiers de grande concentration et voulait devenir médecin. Mais cette fois,  l’heure approchait de plus en plus, elle n’avait pas encore trouvé un mentor et manquait cruellement d’action. Certes, elle était aussi coronaire, mais ce n’était guère suffisant. L’apparition de cadavre et de scène de crime l’avait éternellement endurcie dans ces sentiments. Elle avait vu tellement de débouille et de peine que sa propre pitié du partir très loin.

Les jours suivants, elle fut la connaissance de plusieurs recrues pour la garde de la cité. Certains y voyaient  des avantages que nous connaissons tous et ne pensaient pas avoir peur d’affronter la mort en personne. Rien ne l’intéressait vraiment dans leurs propos. La native du Rohan restait perplexe jusqu'à un doux spectacle visuel, venant dans le sans inverse de sa direction. Jamais auparavant elle remarqua une tel splendeur s’approcher. Son regard fixait cette inividu marcher d’un pas délicat. On peut dire que ces cheveux long et gracieux la faisaient beaucoup sourire devant cette magnifique scène. Les yeux, le visage tout était parfait, y comprit un torse plutôt bombé. Accueillant d’un parfait sourire lorsqu’on lui en fit un, Daphnée ne pu s’empêcher de lancer un regard curieux vers son dos, quand ils se dépassèrent. Ses yeux descendirent  vers les hanches de cette jolie femme qui était apparemment de son goût. 

De longue discussion et de petit rire coquin finirent par aboutir ce soir là. Elle se réveillait au côté de cette merveilleuse blondinette à la forte poitrine et jamais auparavant elle n’avait eu de telles sensations.  Elle quitta les appartements de cette fille, sachant très bien qu’il y avait de forte chance qu’elles ce recroisent encore dans les rues de la cité des rois.

Les jours étaient encore à déterminé. L’apprentissage pouvait désormais continuer vers une perfection d’elle-même en médecine. Désormais, elle serait beaucoup plus alerte sur ce qu’elle pouvait dénicher vers la bibliothèque.

[Franky]

…

Ces pensées ne reflétaient guère ce qu’elle voyait depuis plusieurs semaines. Les ravages de Burzgoth, « dit la créature démoniaque », apportèrent énormément de travaux aux cités du Royaume Réunifier. Malgré que Minas Tirith n’avait pas été touché directement par l’ennemi, Daphnée dût être transférer vers Linhir où l’action s’y trouvait. La dernière assaut de ces créatures fit une brèche contre le mur de soldats du Prince, qui protégeait la ville. Les victimes furent nombreuses, le campement des médecins fut touché et la majorité mourut avant que les gardes repousse l’ennemi de l’autre côté de la rive. D’urgence, la cité des Rois prit l’affaire en main en envoyant des renforts. Et c’est exactement à ce moment qu’elle partit vers l’ouest avec les soldats volontaires.

C’était le désespoir profond. Elle pouvait y voir le manque de motivation sur le visage des hommes qu’elle rencontrait sur son passage. Les jours se ressemblaient, chaque tentative pour détruire l’ennemi ne faisait que détruire le mental des troupes. Plusieurs revenaient à moitié estropiés ou mort par ces créatures. La seul chose qu’elle pouvait y voir; l’horreur de la guerre. Elle ne c’était pas encore habituer à voir tout ce liquide corporel vivant. La peur, des pleurs, du sang…Chaque soldat franchissant les portes du campement de guérison en avaient. Les hommes voulaient du réconfort, mais son regard perdu ne leur donnait rien. Des yeux sans âme qui ne comprenaient pas la situation ni la profonde douleur de ce monde.

Les soirs, ces pensées terribles venaient lui ajouter une épaisseur à sa carapace. Malgré tout, Daphnée devait se rendre à l’évidence; ce n’était pas la dernière grosse tragédie qu’elle vivrait. Elle finissait toujours par se rendormir en pensant à Patricia, son amourette, qui commençait drôlement à devenir sérieuse. Elle se mémorisait lorsque, celle-ci, lui jouait dans les cheveux jusqu’à ce qu’elle s’endorme. Des bons moments où l’on retrouvait ces deux femmes, nues, dans une chambre d’auberge loué, à Minas Tirith.

Durant l’un de ces soirs, elle entendit les hommes festoyer à la caserne. Au début, ce n’était que des rumeurs, jusqu’au jour où un messager apporta la nouvelle au Capitaine en charge de l'escarmouche :

« Burzgoth et son armée ont été vaincus devant Annuminas!  L’ennemi tombe sous les armes du Royaume Réunifié! Levez-vous! Montrons à ces ténèbres la portée de nos bras! Soyez prêt pour la fin de cette compagne Soldats! »

Le même soir, une charge nocturne fut effectuée. Elle permit de libérer la longue route entre Linhir et Calembel. Une charge glorieuse qui annonçait réellement le début de la fin pour les créatures maudites. Évidemment, ce fut un génocide. Les corps furent brulés pour empêcher le fléau de la peste de venir hanter le Gondor à nouveau. Malgré tout, les blessées ne cessaient guère leur venu, jusqu'à la toute fin.

Une fois cette mauvaise aventure terminée, la maison de guérison vinrent lui transmettre une lettre, par l’entremise d’un messager. Le retour vers l’ancienne capitale du Gondor lui ferait le plus grand bien. L’expérience du terrain lui apprit plusieurs facteurs qu’elle ne pouvait considérer, seulement qu’en lisant des livres théoriques ou en restant coincé entre 4 murs à la maison de guérison. L’offre que Lainhel lui avait proposée tenait peut-être encore. Elle devait à nouveau se remettre à y réfléchir et serait peut-être en mesure de reprendre contacte avec la jeune femme…