À Karim

[Tarken]

*Une dague, planté dans la porte de la maison, tenait le mot suivant. Il était écrit avec une écriture pratiquement illisible.*

Je veux te rencontrer. Soit à l'auberge demain soir.

[Franky]

Karim venait de revenir dans le fort, il voyait au loin la dague planté dans sa porte de bois. Prit le colère et presque incapable de lire la missive, il comptait bien se rendre au rendez-vous pour dire deux ou trois mot à cette personne sur le vendalisme causé.

[Franky]

Rendu au rendez-vous, il croyait avoir tombé sur un monstre et non une femme. Celle-ci lui apparut tellement effronté, non respectueuse et culotté qu'il prit la liste de demande de la femme et la lança par dessus son épaule après l'avoir transformer en boule de papier. Le couturier avait toujours été respectueux et honorable avec sa clientèle, si la dame était trop orgueilleuse pour lui demander avec politesse et respectueusement elle pouvait bien aller exécuter sa menace; aller voir ses compétiteurs dans le nord.

Après tout, si elle était prêt à faire 1 à 6 long mois de voyagement, elle pouvait bien le faire...

[Tarken]

Puisque le couturier ne pouvait admettre que ses clients soient tous dociles, et faire quelques concessions, elle partit avec grand plaisir...