Auteur : John Howe
 

L'épée Ancestrale

Démarré par Blanghar, 2011-08-20, 08:44:19

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Blanghar


C'était un ciel rouge sang qui brillait sur le Khand en ce matin. Les ténèbres feront bientôt place à l'aurore. Dans la capitale les catins flétries rentraient d'un pied lourd dans leur miteux bordel. Les cris de fêtards les cris de détresse avait laissé place au bruit de vomissement, s'agençant à merveille aux cris des cochons hors de la cité. Le chef du clan des vipères, Apsu, n'avait pas fermé l'oeuil de la nuit, préparant son équipement pour la journée à venir. L'homme avait affilé ses armes, il les avaient empoisonnés et il eut le temps de préparé une petite surprise.

Il avait été convoqué la veille par un contact du conseil, du moins c'est ce qu'elle prétendait. À dire vrai, la provenance de la guilde du contact l'indifférait, il voyait là une raison de plus pour faire parler de son clan, le valorisé face au clan du loup. Il arpentait la grand rue sous le regard des passants, le faciès stoïque il ce rendait à la banque. Plus tôt dans la nuit il avait fait escorter un baril à la protection de la banque, il s'agissait d'une vieille recette trouvé lors de son périple hors du Khand. Une expérience incertaine dont il avait l'ambition de tester. Les ordres étaient clair et formel, il devait attendre la messagère en début de journée près de la banque. Sa monture de même l'y attendait que le tonneau. C'est en chargeant son matériel : Quelques pioches, une arme de rechange dissimulé sous la robe ornemental en fourrure (qui donnait au cheval un aspect effrayant), du lait de chèvre que la messagère fit finalement son apparition.

Vêtue de vêtement de riche facture de couleur sombre, la capuche rabattu dissimulait les traits de son visage. Elle descendit du cheval, une certaine élégance accompagnait ses pas. L'échange de parole fut bref, le variag ne semblait pas intéresser des détails, outre mesure que cela nuira au Gondor. Un court briefing suivit ensuite, les espions de la capitale ont appris que le Gondor avait récemment entamer des travaux de prospection dans une mine à l'est du Pelargir. Une escorte armé accompagnait une expédition de mineur qui avait été envoyé il y a maintenant quelques jours. Les ordres étaient de prendre la mine d'assaut, d'exécuter les témoins puis d'entamer les travaux de prospection. Après le briefing j'attache le tonneau au harnais du cheval, nous prenons route vers les portes de la cité.

Quelque homme nous attendaient à la sortie de la capitale. Aucune bannière ne portait le symbole officiel du Khand, la formule officieuse qui annonçait un raid éclair.Suivit de quatre variags qui m'étaient inconnu nous chevauchons vers le nord, Nous fauchions au travers des steppes, en direction de l'Ephel Duath où un bateau nous attendaient sur le fleuve. Une petite embarcation militaire mouillait sur les berges sud du fleuve, elle était dissimulé par une bâche. Le fleuve était plutôt tranquille ce qui permit de voyagé rapidement jusqu'à l'autre rive. Le soleil c'était déjà levé et nous accosterons dans les environ de midi. Le silence régnait dans l'embarcation, chacun vaquait à quelque dernier préparatif s'il n'était pas occupé a ramé.

Finalement un raclement sourd annonça que l'embarcation venait de heurter le sable. Les hommes qui accompagnaient la messagère s'occupait de débarqué les montures il restait quelque heures de route avant de rejoindre la mine, situé non loin du gués de Poros. Quelques sentinelles étaient postés à l'extérieur, l'oriflamme du Gondor flottait dans le vent. Au regard nu je comptais tout au plus une dizaine d'homme à l'extérieur, les sentinelles pour la plupart regroupé en petit groupe surveillait le campement. Quelques tentes de fortune étaient érigés toutefois, je ne voyais pas de matériaux de construction...ce qui est normalement nécessaire à la construction d'une mine. À partir de son moment nous laissâmes nos montures pour continué la progression à pied.

On a profité de l'angle mort des tentes pour s'approcher du campement. La messagère nous communique les ordres par gestuel : Les hommes attaqueraient le groupe à l'est, je me charge du groupe à l'ouest puis elle s'occupe de l'entrée principale. Nous prirent d'assaut les sentinelles les exécuté fut rapide puisque nous avons l'avantage de la surprise. C'est alors que vint le moment opportun pour tester l'expérience. À L'entrée de la mine j'allume une fiole de liquide combustible et je la lance sur le tonneau. Le bois du tonneau s'embrase et je balance un coup de pied, le tonneau roule à l'intérieur de la mine.  Une boule de feu surgit de l'embouchure de la mine. Un tremblement secoua le sol et une fumée noire accompagnée de crie sortie de la mine. Deux soldats sortaient de la mine en feu, désarmé en hurlant. Les hommes de la messagère les abats sur le champs. Alors que nous nous aventurons dans la mine, plusieurs soldats de l'escorte suffoquait par terre, plusieurs mineurs blessé hurlaient, le massacre ce continuait sans grande difficulté.

Sous les ordres de la maitresse de l'opération les mineurs embusqué plus loin s'attelle à la tâche, quelques mineurs reprenaient les excavations d'où les avaient laissé les Gondoriens. Pour ma part j'entame la prospection dans un nouveau trou. L'opération pourraient prendre des jours puisque nous n'étions pas trop sur de ce que je cherchais. L'ange de la mort posa finalement sa dague dans la gorge de l'officier Gondorien, elle fouilla dans son sac puis trouva une lettre. Après une lecture du document elle ordonna de concentré les recherches sur une seconde partie de la mine. Une pierre étrange qui semblait avoir été épargné des opérations précédante. S'il existe une légende ou l'un roi extirpe de la pierre une lame. Et bien c'est à grand coup de pioche qu'ils auraient du s'y prendre. Voila c'est ce que je pensais alors que ma pioche fit éclaté une cavité. Une vieille épée qui semblait à première vue de pierre tomba sur le sol. L'arme semblait d'un facture ancienne, possiblement d'une autre époque. Du moins peu importe ce qu'elle représentait pour les Gondoriens cela ne leur sera de plus aucune utilité maintenant. Je plante la pioche dans le sol puis je pose un genou par terre, mes doigts vinrent saisirent la poignée de la lame. J'examine un court instant la lame, puis je tend l'arme à la femme.

Voilà un contrat effectué avec brio, de quoi assuré quelque retombé sur le clan. Une autre journée s'achève dans le Khand alors que le cavalier rentra seul à la capital...
-Apsu le variag, dit le Patricide.
-Mirrolppi le hobbit de la comté.