(annule et remplace)
Un grand gaillard grisonnant, à la barbe hirsute et quelque peu bedonnant pénètre dans l’Auberge – Ou du moins dans ce qu’il en reste.
Car si d’extérieur, l’Auberge pouvait encore passer pour un bâtiment encore fréquenté bien que mal entretenu, il apparait immédiatement au visiteur que l’endroit est à l’abandon, et ce sans doute depuis des années. Du mobilier, rien n’est resté intact ; Pillage, combat, ou simple vandalisme, l’endroit est jonché de détritus et autres débris.
L’homme, dont les vêtements usés jusqu'à la trame, rapiécés en de nombreux endroits, et ayant perdu toute couleur sous les effets conjugués du soleil et des intempéries, esquisse un sourire triste, et se murmure à lui-même, comme il a maintenant habitude de le faire après tant d’années de solitude.
« Tu as bien mal choisi le lieu de ton retour parmi les Hommes, mon pauvre Bragon … Il n’y a pas davantage âme qui vive ici que dans les lieux obscurs et vides que tu as fréquenté ces dernières années … Plus personne ici, Homme ou Nain, ne répondra plus à tes sarcasmes. »
Ses épaules se voutent encore davantage, et il quitte l’auberge a pas lents, s’enfonçant dans la pénombre qui gagne peu a peu …
Un grand gaillard grisonnant, à la barbe hirsute et quelque peu bedonnant pénètre dans l’Auberge – Ou du moins dans ce qu’il en reste.
Car si d’extérieur, l’Auberge pouvait encore passer pour un bâtiment encore fréquenté bien que mal entretenu, il apparait immédiatement au visiteur que l’endroit est à l’abandon, et ce sans doute depuis des années. Du mobilier, rien n’est resté intact ; Pillage, combat, ou simple vandalisme, l’endroit est jonché de détritus et autres débris.
L’homme, dont les vêtements usés jusqu'à la trame, rapiécés en de nombreux endroits, et ayant perdu toute couleur sous les effets conjugués du soleil et des intempéries, esquisse un sourire triste, et se murmure à lui-même, comme il a maintenant habitude de le faire après tant d’années de solitude.
« Tu as bien mal choisi le lieu de ton retour parmi les Hommes, mon pauvre Bragon … Il n’y a pas davantage âme qui vive ici que dans les lieux obscurs et vides que tu as fréquenté ces dernières années … Plus personne ici, Homme ou Nain, ne répondra plus à tes sarcasmes. »
Ses épaules se voutent encore davantage, et il quitte l’auberge a pas lents, s’enfonçant dans la pénombre qui gagne peu a peu …