Première Publication
Dans les bureaux ensevelit d’une vieille ruine depuis longtemps oublié surgit, une forme de forme humaine. Poussiéreuse, contusionné, odorante. Que peux t’il bien se cacher dans cet endroit lugubre ? Une lampe s’ouvre sur cette silhouette. Le visage est reconnaissable. Noonnnn, ohh nnoonnnn, c’est n’est pas vraiment lui. Pas luuuuuiiiiiii….
*BAM*
…
…
…
Rétablissement de la connexion, image à l’écran, transmission vidéo……
On, on rediffuse…
Cet chose que j’ai vu dans les décombres, cet chose ressuscité d’outre tombe. Ce n’était pas réels. Une personne qui n’a pas sévi depuis longtemps, trop longtemps. On remballe vite fait le matériel. Il ne faut pas lui laisser le…
Je suis de retour,
Pour vous jouer un mauvais.
Nnnnnnnnnnnnooooooooooooooooooooooooooonnnnnnnnnnnn !!
Un Journaliste sauvage apparaît !
***
Très cher lecteur, votre humble serviteur c’est absenter depuis trop longtemps déjà. Les bureaux de ce journal sont ensevelit sous la poussière, mais rien n’est trop grand pour faire taire la voix du peuple, la seule voix qui est 100% véridique de notre point de vue. Je vous annonce avec joie le retour de :
Ragoût de potin, Sauce turambarienne
Version 2.0 quatrièmes âges!
Notre premier scoop nous provient d’un endroit bien connu de notre équipe dévouer d’espion… Puisque la plupart sont tous au même endroit on à aucun scoop qui nous vient de l’extérieur. Note à moi-même, trouver d’autre espion.
Bref, la soirée au fameux Nain Hurlant avait déjà commencé. Miya y était déjà avec entre autre Mesrour, Kavanenn et Zaya. Le tavernier Jarek les servait tous avec diverse boisson divertissante. Quant un Hurluberlu fit son entré. Le seul item qui lui doit cette qualification était cette étrange coiffe de cerf qu’il revêtait. Déjà pour attirer l’attention, c’est réussi. Sans plus y porter attention, puisque l’animal avait de l’or pour payer sa consommation, la conversion continua tranquillement sur un sujet complètement inintéressant. La plupart de nos informateurs ont cessé de s’intéresser à ce qui se passait au bar quand une bataille éclata entre le bizarre et Nismou . Le tavernier en était à l’origine. Entrevu semble t’il pour le poste de videur de la taverne. Nous n'avons pas très bien compris de quoi il s’agissait. Bref ce fut une bataille de taverne normale jusqu’à ce que notre cerf n’utilise une technique de combat assez étrange. La charge de la coiffe de bois. On ne vous dit pas que c’est assez pour déconcentrer votre adversaire. Malgré cette surprise, Mismoum c’est bien repris en transformant notre zigoto en cerf-volant.
Cerf-volant, la pognez vous, coiffe de Cerf volant, Cerf-volant, mouahahahahahaha, gnahahahahahah, pouahahahahahahahahahahaha, gniaaahahahahahaha.
Je m’égare, je m’égare, mais cerf-volant, faut avouer qu’elle était bonne.
Alors ou en étais-je ? Ah oui, la suite de la bagarre. Durant le conflit, un bois de cette fameuse coiffe se brisa. Myia de lui faire remarquer ne se doutait pas qu’elle allait démarrer une longue conversation ennuyante il faut le dire sur la beauté intérieur et extérieur et blah et blah et blah. On juge, on dit qu’on ne doit pas, mais on juge tous, c’est pas bien, c’est nuleuh pour la grosse pas belle pas talentueuse et blah et blah et blah et… la coiffe est affreuse ?
Qui, qui à dit ça, voulez-vous savoir, c’est quoi l’idée d’insulté la magnifique coiffe ?
Kavanenn pris en flagrant délit d’insulte envers le charme même. Depuis le début de la conversation qu’elle cherchait à attirer l’attention du beau brun à coiffe. Elle réussit peut-être selon l’information… euh…
Jean-Guy, il est ou le rapport de Marcel Pepperlu?
Marcel Pepperlu, celui qui à vu un semblant de drague de Kavanenn vis-à-vis du Cerf?
Ouais Marcel Pepperlu, lui là.
Attend, il arrive. Jean-Guy de roter fortement dans l’oreille de Journaliste en lui tendant le fameux rapport.
Maudit que tes caves !
Alors de retour à nos moutons, voici, voilà oui, on ne sait pas finalement si la drague a servit à quelque chose ou si elle a même eu lieu, mais une chose est certaine, s’il se passait quelques chose, ça c’est abruptement terminer quand, la coiffe est affreuse a été entendu. Notre cerf à rapidement quitter l’établissement en criant que l’histoire ne se terminera pas ainsi.
***
Nous n’avons aucune idée de la suite des évènements parce qu’ils n’ont pas encore eu lieu, Logique non ?
Soyez cependant certain que nous mettrons toutes nos ressources disponible pour découvrir si une idylle est né dans cet fameuse soirée au nain hurlant.
Voilà qui conclu notre premier numéro de, Ragoût de potin, Sauce turambarienne, Version 2.0, quatrième âge. J’espère qu’il vous à plus, et n’oubliez pas.
Bonne Semaine!
