Un esprit troublé...

[Tiramankan]

Sunjata en avait assez. Assez de devoir trahir les gens qu'il appréciait vraiment, assez de jouer l'espion pour un homme certes talentueux,mais sans pitié et sans état d'âme. Il ne savait plus que faire.Jusqu'au moment où il dut prendre une décision.

Mais retraçons un peu la vie de ce personnage, depuis ses débuts.
Pourquoi a-t-il choisi de devenir l'espion de Karim ?
L'enfant Sunjata était heureux. Il avait en effet deux parents qui l'aimaient, une bonne éducation et des amis haut placés à Umbar, qui figuraient vous, étaient pour le Royaume Réunifié.Mais un jour,alors que ses parents allaient lui apprendre à chasser, ils firent la mauvaise rencontre d'un groupe de monstres grands, et de mauvaise allure. La mort lors de ce combat était inévitable, mais Sunjata, placé en retrait, put s'enfuir au galop.Il fit la route jusqu'à Osgiliath où les Gondoriens le rejetèrent. Désabusé et en colère,il promit de faire payer ces hommes de leur geste. Il avait donc depuis longtemps cette idée en lui et pensait être arrivé au but. Mais depuis quelques temps,son esprit se troublait. Les rencontres, les échanges, les marchés, l'avaient forcé à réfléchir à deux fois sur ses projets...
On pouvait nettement remarquer de la joie sur le visage de Sunjata lorsqu'il était avec les hommes du Nord, et ses sentiments étaient véritables. En effet,même si il avait une immense admiration pour le courage et la volonté de Razaek et Karim, il avait des doutes sur la confiance qu'ils lui portaient et redoutait une trahison de leur part...Sunjata adorait sa Cité plus que tout. Il allait éviter d'aller au Fort pour éviter la colère de Karim qu'il savait puissante et rapide.
A présent il restait aux alentours de Dol Amroth, lieu qui le comblait de bonheur. Il avait en effet étét nommé écuyer de Sir Saltimbor et il allait prouver qu'il allait tout faire pour mériter son respect.

Sunjata s'assit à une table de l'auberge et se mit à écrire une missive à Karim...
En effet il lui restait quelques relations d'espions pour atteindre cet homme rapidement.
« Je ne puis rester avec vous plus longtemps. Je ne vous dénoncerai pas. Sachez tout de même qu'à présent je n'ai plus peur de vous et que j'espère que vous ne ferez pas la sottise de me suivre... »


[Hrp : je savais pas trop où placer le texte mais je pensais que ça pouvait peut etre conduire a une anim sympa  mais bien plus tard !)

[Franky]

Le bricoleur avait bien reçu le message jusqu’à son bureau.
Son regard neutre pouvait en dire plutôt long…Et son rire très exclamant le prit par surprise. La pire de ses erreurs venait d’être faite. Il se rappelait la première fois qu’il avait croisé Sunjata et surtout celle pour laquelle il avait fait un marché avec.  L’homme avait fait de la prison pour l’avoir espionné, lui et Rasaek, pendant qu’ils étaient en discussion contre le Royaume Réunifier. Il faut dire qu’il n’avait guère le choix de suivre le chemin vers le trou, les arguments du jeune homme étaient tellement mauvais que personne ne le prenait au sérieux. « Je suis esclave d’un troll » s’exclama-t-il devant Karim et sa vieille connaissance. C’est alors que l’homme de peau mulâtre prit une décision : en échange d’information, celui-ci serait libéré, fourni dans tous les types d’instrument vestimentaire, armes, bijoux de son choix et serait connu au travers le sud avec le grand couturier, Karim.

 Mais il n’avait pas prévu ceci. Pourtant, Sunjata lui avait dévoilé ses plans pour avoir encore plus d’informations à lui rapporter. Très généreux, le suderons lui avait enlevé « sa garde rapproché » pour mieux travailler en solo. Karim n’avait qu’une seul règle, ne pas le trahir. Comme s’il allait vraiment croire que le jeune homme ne divulguerait pas ce qui se passe réellement au sud… «…qu’à présent je n’ai plus peur de vous…? »

Le sourire démoniaque jusqu’aux oreilles, il se demandait vraiment quelle était la différence entre maintenant ou plus tard ? Seulement le temps… la souffrance n’a pas de prix.

[Franky]

Alors qu’il était sur son nouveau projet, Jynnea venu le rencontrer. Celle-ci lui expliqua avoir vu Sunajata dans l'ancienne cité pirate. Après qu'elle finit de lui parler de toute l'histoire, y comprit celle d'un gorgeret magique, il prendrait les choses en main. Maintenant qu’il avait un peu plus de temps libre devant lui, la chasse à l’homme serait ouverte...

[Menelosil]

   Après avoir été chassé d'Umbar lors d'une opération qui consistait à se saisir du Sire Wellan pour qu'il soit de nouveau en possession de toutes ses facultés et qu'il retrouve enfin le chemin de la raison, Moloch avait décidé de rester un temps à Edoras où il s'était déjà rendu auparavant.

   Grâce à sa curiosité et aux rumeurs qu'il avait pu entendre à droite à gauche, il savait à présent que Sunjata, qu'il n'avait pas réussi à trouver, avait été enlevé lors d'une mission effectuée dans les Terres Arides d'Umbar. Mais il ne savait pas qui l'accompagnait ni comment tout s'était réellement passé...

   Dans une chambre toute simple mais fort agréable de l'auberge, Moloch fixait du regard un plateau qui lui avait été apporté et sur lequel trônaient quelques fruits bien mûrs. Il était assis là depuis assez longtemps déjà, et ses yeux noirs et vifs auraient pu transpercer les fruits si un coup sec et fort n'avait pas retenti contre la porte. Il se leva prestement et, tout en manquant de renverser sa chaise, se précipita pour ouvrir. Cette joie apparente ne fut hélas que passagère : son sourire avait disparu aussi rapidement que le nuage timide qui passe devant le soleil un jour d'été. Ce n'était que l'aubergiste qui avait oublié l'eau demandée un peu plus tôt. Moloch fit un signe de tête respectueux et partit se rasseoir. Les fruits qu'il fixait prirent soudain formes humaines et le fond de sa chambre s'était transformé, grâce aux machinations mystèrieuses de la pensée, en une montagne dont l'entrée était plongée dans l'obscurité. Moloch, le regard perdu, noyé dans le vide de ces illusions, était en train de s'imaginer la scène de l'enlèvement. N'étant lui-même pas sur les lieux, les images qu'il avait dans l'esprit étaient assez floues, et sûrement erronées. Il pouvait néanmoins ressentir le danger qu'avaient dû approcher les personnes qui se trouvaient sur place. Ses mains se crispèrent. Il aurait voulu être là pour sauver son ami. Il aurait même dû être là. Son absence était à ses yeux aussi forte qu'un terrible abandon.

   Un hennissement se fit soudain entendre, et fit sortir Moloch de ses pensées. Il se leva lentement et partit voir son cheval au dehors. Il le regarda profondément : celui-ci réclamait sûrement à manger...mais qui sait, lui aussi révélait peut-être à sa manière qu'il était cette fois-ci prêt à partir, au moment où il le faudrait, pour sauver un compagnon d'armes...


(Hrp : j'ai évoqué vite fait "l'affaire Wellan" au début mais comme après je ne parle que de l'enlèvement de Sunjata, je me suis dit qu'il valait mieux poster ici...J'espère que c'est bon  )

[Theomir]

Le guet...par surprise...ils attendent...

Le garde s'était effondré devant eux. Raide mort.

L'homme du nord essayait d'assembler les pièces du puzzle. Il plongea son visage dans ses larges mains. Et resta un moment ainsi. Les yeux fermés. Menant bataille entre sa mémoire et sa logique.

L'arbre au creux duquel il s'était lové l'enlaçait curieusement de ses deux branches majestueuses. La forêt dans laquelle il était venu prendre asile le berçait confortablement. Epaisse et sombre, certains l'auraient cru morte ou ensorcelée, lui la savait vivante et vieille comme le monde. Le clair de lune jouait à cache-cache avec les feuilles de l'arbre centenaire, trahissant par intermittences les traits usés et profonds de l'homme. Des jours sans dormir, des années sans trouver la paix. Son corps en portait les marques. Et à qui savait observer, l'âge de cet homme ne pouvait échapper.

Les paroles résonnaient dans sa tête.

Nous avons ce que nous sommes venus chercher. Partez et aucun mal ne vous sera fait.

Qui était ce Sunjata. Pour qui avait-il risqué sa vie et celle de son amie. Etrange écuyer, qui n'avait pas semblé opposer grande résistance. De quel côté était-il. Il n'y avait aucune cohérence dans tout cela. Et maintenant, il devait trouver un certain Moloch dont il ne connaissait rien.

D'un bond léger, l'homme se laissa finalement glisser au pied de l'arbre. Il manqua de peu une pouce d'Athelas. Son regard s'illumina d'un coup et un sourire se dessina sur ses lèvres.

Parmi toutes les pièces éparpillées, Mère Nature venait de l'aider à trouver le premier coin du puzzle.

[Morenlor]

Depuis qu'il avait fait la rencontre de ce Karim, Arkadil avait l'esprit tourmenté par plusieurs questions...
Que fallait-il faire ?
Croire aux idées indépendantistes des personnes hostiles au Gondor ?
Ou croire en la puissance des gondoriens, qui mènerait le pays vers la grandeur ?

Ce qu'Arkadil en savait, c'est que ceux d'Umbar semblaient divisés sur la chose.
Ceux du sud lointain, les haradrim, semblaient très hostile au Gondor, d'où la prise du fort Harnast, mais lui-même ne savait pas se décider.
Il avait alors entreprit de voyager, pour changer les idées. Il était donc parti au Gondor, justement voir ce que les gondoriens pensaient de la situation au sud.
La plupart ne se mêlait pas de ces affaires-là, et ne semblait pas vouloir s'y intéresser.

Il pensa alors, pourquoi ne pas en parler longuement avec son ami, Sunjata ? Car lui-même semblait tout aussi flou sur la question dans son esprit.

...

Le voyage du retour fut plus long, en effet, il évita soigneusement de passer par le gué du fort Harnast, la situation étant tendu là-bas.

Arrivé à Umbar, il ne trouva pas Sunjata, personne ne l'avait vu.

Cela aurait pu être normal, mais après plusieurs jours, Arkadil s'en inquiéta.

Il décida alors d'aller voir Karim le couturier, peut être savait il où il se trouvait. Sunjata avait en effet eu quelques histoires avec lui, et il se rendait souvent au fort Harnast.

Il prit alors la route vers le gué, ayant un sentiment de malheur sur le sort de Sunjata…

[Theomir]

Cela faisait plusieurs semaines qu'il suivait la piste. L'homme du nord avait fini par se rendre à l'évidence que le prénommé Moloch n'avait pas pour habitude de laisser nombre d'indices derrière lui. La traque était fine et éprouvante et les chances de mettre la main sur l'homme du sud aussi minces qu'une tige d'orchidée...

Et pourtant, avec la détermination et la discipline qui lui étaient propres, le Dúnadan approchait du but.

[Franky]

Les rencontres avec le couturier se faisaient de plus en plus rares. Beaucoup de citoyen pouvaient en témoigné, Karim avait maintenant une certaine routine. Le matin, il se levait pour aller voir son propre commerce dans le Fort Harnast. Il continuait sa ronde pour faire quelques rencontres avec le peuple de la cité fortifiée. Durant la journée, on pouvait le voir parler à certains gardes et durant la nuit le voir quitter la ville pour une destination inconnue.

L’Haradan faisait souvent voyage vers les montagnes de l’Ephel Dualth pour y retrouver son prisonnier.  L’entrée de la mine était plutôt bien gardée, on pouvait y voir des murs de briques, de grosses roches, des piliers pour les archers et soldat du Fléau des steppes, cachés par une minuscule forêt morte.  Les gardes étaient assez nombreux, si un ennemi  faisait face à l’horizon, ces chances de survit pouvaient être maigre.

Lorsque le chef des assassins du Fléau des steppes revenus cette fois, il descendit de sa monture sombre avec un sac en surplus. Il passa les portes métalliques, les soldats saluèrent leur Trug Kritar habillé d’un manteau, capuche foulard sombre. Sa ceinture tenait une longue dague attachée à elle.  Quand on le regardait, il n’y avait pas vraiment d’attitude, mais plutôt qu’une simple paire d’yeux au regard sévère,  son expression faciale était camouflée, ce qui laissant souvent sous-entendre plusieurs réactions parfaitement positive pour négative.  Il entra finalement dans la petite mine. En marchant d’un lourd pas vers l’enchainé, il le fit au sol bien assit, sale, très faible et massacrer. De son sac, Karim sorti de l’eau et deux bon gros bouts de pains qu’il lança à Sunjata.
L’esclave mineur se jeta sur ce qui avait été lancé, il n’eut guère le temps de déguster ce qu’il mangeait. Négatif de la tête, le bricoleur se mit à faire le tour de la mine, le lieu de travail. Un silence se faisait entendre tout d’un coup, il décida de prendre parole :

Karim : Alors, as-tu bien réfléchit depuis ma dernière visite?

L’écuyer du Prince de Dol Amroth était beaucoup trop faible pour réellement bouger, quand il essayait de répondre, les mots sortaient souvent avec des toussotements creux. Mais rien ne faisait plier le dur caractère de l’homme mulâtre.

Karim : Ça fait déjà 4 mois que tu es prit dans cette mine. Je n’espère tout de même pas que tu t’attendais à sortir d’ici. C’est ce que coute ma trahison…

La discussion continuait, Sunjata ne répondait pas beaucoup, mais souvent ses points devaient forcément se serrer vers leurs paumes.  Karim prit un malin plaisir à vouloir le torturer mentalement. Le sujet restait le même, mais les mots changèrent. « Mais où sont tes amis Sunjata ? Après 4 mois, ils ont abandonné l’un de leur équipier. » et « En joignant le Royaume Réunifier, est-ce que tu t’attendais réellement à plus que ce que nous t’aurions offert ? » Le Trug Kritar disait-il. Pendant plusieurs minutes, il fit le désespoir et la colère entrainer l’homme natif d’Umbar. Souriant sous son foulard sombre, il voyait bien que son plan marchait.  Mais Sunjata n’avait plus de patience …

Sunjata : Pourquoi es-tu venu me voir Karim?

Et c’est à ce moment qu’il se mit à lui expliquer que la mine était beaucoup trop bien pour lui. Il serait donc transféré vers l’enfer désertique du sud. Le sable brulant, la mince chance de survit causé par la chaleur du soleil. Et si la lueur des cieux ne ferait pas son travail pour cause de trop grande persévération…La lourde fraicheur de la nuit s’en occuperait. Le natif de Nardjam savait très bien qu’un homme nue, marchant sur les butes de sable dans le désert, ne pouvait être retrouvé vivant. Son cadavre servirait aux animaux de proie.

Mais la fin n’ébranla pas le prisonnier. Un sourire apparut sur son visage, ce qui laissa plutôt perplexe et surpris Karim. Il finit par partir en laissant quelques directives aux hommes présents. Le transfert vers le désert pouvait très  bien se passer.  Après tant de temps, la menace était surement éloigné, la vengeance contre cette trahison serait terminée et plus personne ne trouverait le cadavre.

[Theomir]

Il avait fini par le retrouver. L'échange entre les deux hommes avait été rapide et honnête. L'un cherchait son ami et s'en voulait de n'avoir pas pu risquer sa vie pour la sienne. L'autre cherchait seulement des explications et avait risqué sa vie pour celle d'un inconnu...

Selon l'homme du nord, les chances pour que Sunjata soit encore en vie étaient bonnes. Si règlement de compte sanglant il avait dû avoir, l'homme aurait été saigné sur le gué. Les gens du sud étant prompts à rendre jugement, ils ne se seraient pas embêtés à porter ce fardeau s'il n'était d'aucune utilité.

Malgré tout, les pistes pour les mener au captif étaient quasi nulles. Ils s'étaient donc résolus à tout reprendre à zéro. Au point de départ. Au gué.

[Menelosil]

Moloch ne pouvait s'empêcher de scruter l'horizon, de tendre l'oreille au moindre bruit et de jeter son regard sur le moindre passant. Depuis que cet homme, au ton grave et à l'allure assurée, s'était présenté à lui en étant déjà au courant de son nom et de la disparition de son ami Sunjata, il se sentait observé et même si ses peurs s'avéraient pour la plupart infondées, il n'était toujours pas tranquille. A vrai dire, sa cité et le calme qu'elle avait pu connaître autrefois lui manquaient un peu, et il avait hâte que tout se termine. Néanmoins, la rencontre fut finalement porteuse d'une bonne nouvelle...du moins c'est ce qu'il espérait. En effet, elle lui avait révélé un allié dans sa quête : quelles que soient ses raisons, et même s'il ignorait tout de lui, ne serait-ce que son nom, il avait décelé en lui la même force de la volonté.
Mais le temps n'était plus aux doutes ni aux vaines paroles. A présent, il leur fallait agir.

[Tiramankan]

Sunjata se mourait. Les coups des gardes qui gardaient la prison étaient à présent des douleurs inoffensives par rapport à ce qu'il subissait en ce moment.Il toussait sans arrêt,et le soigneur  lui donnait quatre mois s'il ne changeait pas d'endroit.Le soigneur étant du coté de Karim,il rit en lui annonçant cette nouvelle et disparut de la mine,en s'éloignant du Numénoreen très lentement,et gloussant. L'ancien forgeron ne parlait plus. Il s'économisait. On allait bientôt le transférer dans une autre prison,et il garderait ses forces pour tenir le voyage.
Karim lui avait expliqué que la mine était beaucoup trop bien pour lui,et c'est pour cela qu'il le transférerait ailleurs.Cependant,Sunjata savait pertinemment que ce n'était qu'un mensonge,et que Karim l'envoyait à la mort,rien de plus.Le mineur n'avait cependant pas dit son dernier mot.

[Franky]

C'était le jour du transfer.

Lorsqu'il parti du Fort Harnast, il prit la direction de l'Ephel Duath en Harondor. Sous les pas de sa monture, le chef des assassin faisait apparaître une légère poussière qui se soulevait. Au loin, il pouvait déjà voir la mine encré dans les montagnes mordoriennes au terrible passé. L'entrée de la mine était encerclé d'une petite muraille fait de pierre entre piler, formant des murs plutôt haut. Un petit bois faisait face devant la seul porte d'entrée et encerclé de soldat du fléau des steppes. La petite troupe faisait continuellement son tour de ronde comme demander par Karim. Il finit par arriver en ces lieux pour y retrouver Sharlak. Après plusieurs minutes d'entretiens avec le prisonnier Sunjata, il fut ligoté, largement nourrit et définitivement prêt pour un endroit beaucoup plus pire qu'une mine.

Ils n'eurent aucun temps à perdre. Il passèrent par le territoire contrôler pour se rendre jusqu'au bout des terres de toundras, faisant place au sable de l'énorme désert aride et meurtrier. Même le Trug Kritar voyageait très rarement dans ces endroits. On disait quelqu'il y avait beaucoup de légende et d'histoire sur ce territoire. Lui, natif de Nardjam, n'avait jamais eu l'idée de venir prendre le danger par les cornes dans ces vagues sablonneuse. Leurs route furent périeuses et très épuisante, Sharlak n'avait pas besoin d'aide pour se retrouver. Le guide continuait à découvrir le chemin à suivre et pendant ce temps, le couturier de renom surveillait bien le prisonnier. Peut-être l'avait-il déjà prévenu, mais il ne voulait pas le voir mourir en chemin avant de voir l'extrême désespoir suicidaire dans ces yeux. Vers la fin du trajet, ils tombèrent sur une tempête de sable, surtout que la chaleur n'était pas assez! Mais leur route se terminèrent face à une forteresse, celle-ci était aussi bien garder que la mine en Harondor. Le prisonnier fut déposé dans une grotte super miteuse, très peu espacé, pire que celle qu'il avait connu. 

Au milieu de la nuit, une alarme fut sonné pendant la tempête. Un homme plutôt louche avait été repère par les gardes de la forteresse du désert. Karim reçu le message que Sunjata réussit à se libérer. Ils trouvèrent une corde rattachée après une pique pour miner, encrée entre deux roches à l'extérieur de la muraille. Comme s'il avait réussit à en sortir en l'escaladant pendant la tempête de nuit. Les Haradrim savaient que le très peu de chance qu'un homme épuisé, torturé, seulement habillé d'une pantalon ne pouvait survivre dans le désert de la nuit. Et si c'était le cas, la chaleur auraient raison de lui...Le chef du fort le considérait comme mort.