Il pénétrait le portail. Il faisait encore sombre à son arrivé, le lieu désertique de clientèle l'amena vers les marches de l'établissement. Lors de son ascension, il croisa son garde du corps qui lui confirma la présence des invités de cette rébellion. Il gravit encore plus haut pour finalement entre croisé le barman de la place, qui revenait avec un plateau vide de boisson. Une maquette avait été sorti pour l'occasion, les hommes influant s'y regroupaient tous autour. Il prit place à l'extrémité vide et se mit à regarder chacun d'eux. Un silence de mort se mit à régner, tous fixé vers l'assemblage grandeur miniature de la cité d'Umbar et ces régions.
Karim : Quels sont nos effectifs ?
Rasaek: La majorité des membres du Fléau sont sur place. Certains hommes sont restés proches des frontières avec Sharlak pour bloquer l'accès à la route du Harad et d'Umbar, par l'entremise des traversées. Nos hommes sont devant les portes.
Général de Nardjam: Sous les ordres du Sultan, nous sommes venus avec de nombreux hommes du harad. Avec l'influence et les négociations de Rasaek, certains Haradrim du désert se sont aussi joints au déplacement. Des hommes et des éléphants. La cité des sables est en attente devant les portes.
Xsungwe: L'appel de Varia fut aussi répondu. Lors de notre traversée, l'effet de foule engendra un nombre incalculable d'homme pour la bataille. Nos catapultes se sont bien rendues. Et n'ayez nul doute, les hommes n'étaient pas seul pour la marche, nos créatures seront de la partie ; des orques, wargs, semi-trolls et trolls. Tous devant les portes.
Une pause s'entama. Le visage expressif des gens sur ces derniers paroles laissait mijoter un gout amer. Ils comprirent rapidement que le vieil Oriental n'était pas là pour plaisanter. Ce qui était le plus troublant, c'était qu'il en discutait comme s'il dépoussiérait un livre d'une centaine d'année. Son calme imperturbable ne laissait aucune suspicion sur ce qui se passait dans cette ville, à l'est.
Azreld: D'accord... Donc ! En ce qui nous concerne, le plan reste le même.
Général de Nardjam: Un plan ? Écraser la cité n'est pas une manœuvre, mais une conquête.
Azreld: Même si une grande quantité de civil ont décidé de quitter Umbar, il reste encore quelque chose à sauver et nous le ferons intelligemment. L'ennemi ne voudra pas céder la cité. Nous avons une muraille à traverser et le faire le plus rapidement possible serait le mieux. Ragmar et moi avons acheté un vieil immeuble et avec nos ressources, nous avons fait l'ouverture d'un musée en hommage au Royaume Réunifier. Mais sous cette façade, nous avons construit un tunnel, tout droit relier aux égouts de la ville. Les vrais hommes de Numenor n'ont pas oublié l'Insoumise, ils connaissent encore les passages secrets.
Ragmar: Les égouts débouchent sur une zone presque inondée, nauséabonde. Elle est éloignée des routes et très peu visité. Le réseau est tracé par de petite caverne, qui sort dans ce secteur.
La recrue du fléau démontra l'emplacement approximatif sur la surface ondulé, de la table a plan, qui reposait un peu plus loin devant les portes de la cité. Le jeton rouge touchait une zone légèrement marécageuse, clairement dissimuler de l'œil humain, même le couturier n'était pas au courant de cet caverne.
Rasaeck: Ce que nous cherchons, ce sont des cibles devant les portes. Le regard tourner vers eux, nous passerons par le tunnel pour ouvrir les portes de la cité. Si l'étape est une réussite, l'étendard du Fléau des Steppes sera visible de la muraille et nous ouvrirons les portes pour l'assaut. Dans le cas contraire, nous devrons bombarder la cité.
...
Le groupe d'homme au trot se sépara en deux. Tandis que Rasaek, Ragmar, Azreld, Isilraen et quelques hommes de différentes origines prirent un chemin, les trois cibles désignées prirent l'opposé. Les délégués passèrent devant la foule conquérante. Les bêtes étaient énervés, des cris de guerre exprimés dans une langue que les hommes croyaient morte depuis la fin du Mordor se faisaient entendre. Les hominidés, armés jusqu'au dent, devenaient impatient dans les colonnes de formations imposées de leur hiérarchie. Le temps jouait en leur faveur, l'ennemi était prêt au-dessus des murailles. Un drapeau toute au haut d'une perche sillonna de gauche à droite. Karim et Xsungwe décidèrent d'avancer. À mi-chemin, ils ordonnèrent à leur canasson de stoppé la marche. Un vent de poussière et d'humidité venait épouser leurs visages, scrutant l'horizon lorsque les portes d'Umbar s'entrouvrit pour laisser passer 2 cavaliers. À la rencontre des pourparlers, le couturier ne dit presque aucun mot, laissant l'expérience de son vieil allié prendre le dessus. Le général d'Umbar, plutôt offusqué, prit la peine de manifester quelques menaces et de leur rappeler l'importance d'une bonne coopération avec le Royaume Réunifier. La sagesse d'Xsungwe, dans un jargon franc, rappela aux gondoriens que le territoire ne leur avait jamais été octroie, que l'Insoumise appartenait à la richesse de ces terres et à la culture du peuple du sud. La rencontre finit en queue de poisson. Le conseillé et le général partirent se protéger à l'arrière de leur fortification, tandis que les leaders de la rébellion retournèrent vers leurs troupes.
Le Trug Kritar s'approcha de ses membres. À sa gauche, un signe de tête vers le Général de Nardjam, à sa droite, une autre approbation vers le représentant de Varia. Un poing lever de ce dernier ordonna l'avancer des catapultes. Question de faire un bon nettoyage de la fourmilière, des charges incendiaires furent catapulté en direction de l'entrée principale de l'ancienne cité pirate. Ce fut un carnage. Le son du déclanchement des catapultes se propageaient autour d'eux, le tire à volonté étaient ordonné par Xsungwe. Les tambours et les fracas des armes sur les boucliers de la foule servent d'intimidation pour la résistance. L'armé avançait vers les portes, au fur et à mesure que les catapultes bougeaient de l'avant. La réception des tirs se faisait à l'intérieur de la ville, l'engouement de la conquête se faisait sentir.
Une interruption fut exécutée. Le bombardement avait fait son œuvre, ils ne voyaient aucun mouvement provenir de la muraille. À leur surprise, les portes noircies par les flammes finirent par s'ouvrir et l'étendard du Fléau des Steppes était visible de leur position. La charge fut lancée. Les créatures du sud Mordorien prirent les première lignes de l'assaut pour pénétrer dans la forteresse. Au même moment, des navires d'Umbar se mirent à canarder l'insoumise, des renforts débarquaient au port de la ville. Le chaos s'installa rapidement. Sécurisé dans une ruelle, Karim retrouva Rasaek et Asareck. Il était évidant qu'ils étaient pris aux pièges dans tout ce raffut. Quelques minutes d'attente passèrent, les coups de canon prirent de l'escale et un petit sourire apparu sur le visage du chef de la compagnie. Les boulets n'étaient plus envoyés dans leur direction, mais le vacarme semblait continuer.
Karim: Mais qu'est-ce qui te fait sourire ?!
Rasaek: Ils sont arrivés. Préparez-vous à la charge !
Karim: Arrivés ? Charge ?
Au large, une attaque navale avait lieu. Au sommet de la grande voile, on pouvait y retrouver le pavillon du Nadir, qui attendait le bon moment dans la baie. Le Capitaine Mesrour n'était pas seul, de nombreux vaisseaux venus de l'ouest des mers avaient fait le chemin pour cette bataille.
...
Ce sont quelques heures plutard que la bataille prit fin. Le général avait succombé avec les dernières troupes restantes devant les restes du Nain Hurlant, les membres du conseil restant avait réussi à quitter la forteresse par l'entremise des voies maritimes, sauf un. L'homme fut retrouvé au pied de l'énorme statut de Lautorhion Eskerior'eo, au port de la cité côtière. Trop gourmand de sa richesse, il n'avait pas réussi à rejoindre la dernière barque pour sa propre survie. Il tenta de soudoyer l'envahisseur, en leur proposant l'esclavagisme. Mais Rasaek et Xsungwe dérobèrent le trésor qu'il transportait et l'exécuta au pied de la statut de renom.
Encore quelques heures plutard, une cérémonie eu lieu au Palais de justice de la ville. Les scribes y étaient présents et malgré le fait qu'une nouvelle attaque du camp adverse n'était pas impossible, on y signa un traité pour la conquête. Les personnages influant de la bataille furent interpelés pour signer. On y retrouva le général de Nardjam, Xsungwe et Rasaek, ainsi que Karim comme témoin. Sous la gouvernance des 3 partis, la ville serait redonnée au peuple du sud et aux hommes de Numenor. Dans le traité, on y retrouva quelques demandes :
Un nouveau conseil d'Umbar serait formé. Après multiples négociations où le général de Nardjam était trop vorace, il fut décidé et signé que le conseil accueillerait un total de 10 sièges ; 5 pour les hommes de Numenor, 3 pour les haradrim, 1 pour les Orientaux et 1 pour la guilde du Fléau des Steppes. Tous signèrent le traité et le nom des témoins furent ajouter.
...
Karim venait d'arriver au palais. Il n'avait pas mis les pieds à Nardjam depuis très longtemps. À la fin du traité, le Général de Nardjam s'empressa de l'approcher pour une convocation d'urgence auprès du Sultan. Le couturier prit le temps de faire le chemin en chariot pour pouvoir se reposer durant le trajet.
À l'entrée de l'enceinte, 2 gardes escortaient le général vers l'extérieur. Celui-ci se tenait le visage par déshonneur, mais aussi pour essuyer le sang qui coulait de son arche sourcilière. La situation n'était déjà pas très habituelle, qu'elle fit monter un sentiment de stresse chez lui. Devant le monarque du sable, il ne reçut, finalement, que des félicitations. Le sultan, de son attitude neutre, voyait les exploits du Trug Kritar comme celui du héros des haradrim; un suderon qui prit en main la cause de la libération du sud. Contre toute attente, il n'eut aucune pitié pour dénigrer le général devant lui. Plus encore, il voyait en Karim le respect d'un dirigeant, ce disant heureux qu'un homme de loyauté lui serait plus que bénéfique proche de lui. Il lui proposa le post du général au sein de ses troupes. Prit d'étonnement et en toute respect, le couturier refusa le titre que la majesté lui offrait, prétextant que ce n'était pas dans son domaine d'expertise que de gouverner une aussi grande armée.
Sultan : Alors ? Que puis-je offrir à l'illustre homme que tu es ? Tu as déjà la richesse, la renommée, les contacts...Je te trouve plutôt modeste pour un haradan de ta compétence. Savais-tu que lors du traité de l'insoumise, nous avons négocié 3 sièges au conseil ? C'est ainsi que je vois ton avenir, représentant des Haradrim à Umbar. Et qui de mieux pour le faire que Karim le Haradan ?
Karim : Sans, une fois de plus, vous manquez de respect ; On m'avait déjà offert une place et j'ai dû décliner l'offre...
Sultan : Certainement. Mais cette fois-ci, c'est le Monarque des sables qui te le dit.
Karim : Quels sont nos effectifs ?
Rasaek: La majorité des membres du Fléau sont sur place. Certains hommes sont restés proches des frontières avec Sharlak pour bloquer l'accès à la route du Harad et d'Umbar, par l'entremise des traversées. Nos hommes sont devant les portes.
Général de Nardjam: Sous les ordres du Sultan, nous sommes venus avec de nombreux hommes du harad. Avec l'influence et les négociations de Rasaek, certains Haradrim du désert se sont aussi joints au déplacement. Des hommes et des éléphants. La cité des sables est en attente devant les portes.
Xsungwe: L'appel de Varia fut aussi répondu. Lors de notre traversée, l'effet de foule engendra un nombre incalculable d'homme pour la bataille. Nos catapultes se sont bien rendues. Et n'ayez nul doute, les hommes n'étaient pas seul pour la marche, nos créatures seront de la partie ; des orques, wargs, semi-trolls et trolls. Tous devant les portes.
Une pause s'entama. Le visage expressif des gens sur ces derniers paroles laissait mijoter un gout amer. Ils comprirent rapidement que le vieil Oriental n'était pas là pour plaisanter. Ce qui était le plus troublant, c'était qu'il en discutait comme s'il dépoussiérait un livre d'une centaine d'année. Son calme imperturbable ne laissait aucune suspicion sur ce qui se passait dans cette ville, à l'est.
Azreld: D'accord... Donc ! En ce qui nous concerne, le plan reste le même.
Général de Nardjam: Un plan ? Écraser la cité n'est pas une manœuvre, mais une conquête.
Azreld: Même si une grande quantité de civil ont décidé de quitter Umbar, il reste encore quelque chose à sauver et nous le ferons intelligemment. L'ennemi ne voudra pas céder la cité. Nous avons une muraille à traverser et le faire le plus rapidement possible serait le mieux. Ragmar et moi avons acheté un vieil immeuble et avec nos ressources, nous avons fait l'ouverture d'un musée en hommage au Royaume Réunifier. Mais sous cette façade, nous avons construit un tunnel, tout droit relier aux égouts de la ville. Les vrais hommes de Numenor n'ont pas oublié l'Insoumise, ils connaissent encore les passages secrets.
Ragmar: Les égouts débouchent sur une zone presque inondée, nauséabonde. Elle est éloignée des routes et très peu visité. Le réseau est tracé par de petite caverne, qui sort dans ce secteur.
La recrue du fléau démontra l'emplacement approximatif sur la surface ondulé, de la table a plan, qui reposait un peu plus loin devant les portes de la cité. Le jeton rouge touchait une zone légèrement marécageuse, clairement dissimuler de l'œil humain, même le couturier n'était pas au courant de cet caverne.
Rasaeck: Ce que nous cherchons, ce sont des cibles devant les portes. Le regard tourner vers eux, nous passerons par le tunnel pour ouvrir les portes de la cité. Si l'étape est une réussite, l'étendard du Fléau des Steppes sera visible de la muraille et nous ouvrirons les portes pour l'assaut. Dans le cas contraire, nous devrons bombarder la cité.
...
Le groupe d'homme au trot se sépara en deux. Tandis que Rasaek, Ragmar, Azreld, Isilraen et quelques hommes de différentes origines prirent un chemin, les trois cibles désignées prirent l'opposé. Les délégués passèrent devant la foule conquérante. Les bêtes étaient énervés, des cris de guerre exprimés dans une langue que les hommes croyaient morte depuis la fin du Mordor se faisaient entendre. Les hominidés, armés jusqu'au dent, devenaient impatient dans les colonnes de formations imposées de leur hiérarchie. Le temps jouait en leur faveur, l'ennemi était prêt au-dessus des murailles. Un drapeau toute au haut d'une perche sillonna de gauche à droite. Karim et Xsungwe décidèrent d'avancer. À mi-chemin, ils ordonnèrent à leur canasson de stoppé la marche. Un vent de poussière et d'humidité venait épouser leurs visages, scrutant l'horizon lorsque les portes d'Umbar s'entrouvrit pour laisser passer 2 cavaliers. À la rencontre des pourparlers, le couturier ne dit presque aucun mot, laissant l'expérience de son vieil allié prendre le dessus. Le général d'Umbar, plutôt offusqué, prit la peine de manifester quelques menaces et de leur rappeler l'importance d'une bonne coopération avec le Royaume Réunifier. La sagesse d'Xsungwe, dans un jargon franc, rappela aux gondoriens que le territoire ne leur avait jamais été octroie, que l'Insoumise appartenait à la richesse de ces terres et à la culture du peuple du sud. La rencontre finit en queue de poisson. Le conseillé et le général partirent se protéger à l'arrière de leur fortification, tandis que les leaders de la rébellion retournèrent vers leurs troupes.
Le Trug Kritar s'approcha de ses membres. À sa gauche, un signe de tête vers le Général de Nardjam, à sa droite, une autre approbation vers le représentant de Varia. Un poing lever de ce dernier ordonna l'avancer des catapultes. Question de faire un bon nettoyage de la fourmilière, des charges incendiaires furent catapulté en direction de l'entrée principale de l'ancienne cité pirate. Ce fut un carnage. Le son du déclanchement des catapultes se propageaient autour d'eux, le tire à volonté étaient ordonné par Xsungwe. Les tambours et les fracas des armes sur les boucliers de la foule servent d'intimidation pour la résistance. L'armé avançait vers les portes, au fur et à mesure que les catapultes bougeaient de l'avant. La réception des tirs se faisait à l'intérieur de la ville, l'engouement de la conquête se faisait sentir.
Une interruption fut exécutée. Le bombardement avait fait son œuvre, ils ne voyaient aucun mouvement provenir de la muraille. À leur surprise, les portes noircies par les flammes finirent par s'ouvrir et l'étendard du Fléau des Steppes était visible de leur position. La charge fut lancée. Les créatures du sud Mordorien prirent les première lignes de l'assaut pour pénétrer dans la forteresse. Au même moment, des navires d'Umbar se mirent à canarder l'insoumise, des renforts débarquaient au port de la ville. Le chaos s'installa rapidement. Sécurisé dans une ruelle, Karim retrouva Rasaek et Asareck. Il était évidant qu'ils étaient pris aux pièges dans tout ce raffut. Quelques minutes d'attente passèrent, les coups de canon prirent de l'escale et un petit sourire apparu sur le visage du chef de la compagnie. Les boulets n'étaient plus envoyés dans leur direction, mais le vacarme semblait continuer.
Karim: Mais qu'est-ce qui te fait sourire ?!
Rasaek: Ils sont arrivés. Préparez-vous à la charge !
Karim: Arrivés ? Charge ?
Au large, une attaque navale avait lieu. Au sommet de la grande voile, on pouvait y retrouver le pavillon du Nadir, qui attendait le bon moment dans la baie. Le Capitaine Mesrour n'était pas seul, de nombreux vaisseaux venus de l'ouest des mers avaient fait le chemin pour cette bataille.
...
Ce sont quelques heures plutard que la bataille prit fin. Le général avait succombé avec les dernières troupes restantes devant les restes du Nain Hurlant, les membres du conseil restant avait réussi à quitter la forteresse par l'entremise des voies maritimes, sauf un. L'homme fut retrouvé au pied de l'énorme statut de Lautorhion Eskerior'eo, au port de la cité côtière. Trop gourmand de sa richesse, il n'avait pas réussi à rejoindre la dernière barque pour sa propre survie. Il tenta de soudoyer l'envahisseur, en leur proposant l'esclavagisme. Mais Rasaek et Xsungwe dérobèrent le trésor qu'il transportait et l'exécuta au pied de la statut de renom.
Encore quelques heures plutard, une cérémonie eu lieu au Palais de justice de la ville. Les scribes y étaient présents et malgré le fait qu'une nouvelle attaque du camp adverse n'était pas impossible, on y signa un traité pour la conquête. Les personnages influant de la bataille furent interpelés pour signer. On y retrouva le général de Nardjam, Xsungwe et Rasaek, ainsi que Karim comme témoin. Sous la gouvernance des 3 partis, la ville serait redonnée au peuple du sud et aux hommes de Numenor. Dans le traité, on y retrouva quelques demandes :
Citation-À la demande du Fléau des Steppes: L'Instauration d'ambassade dans chaque ville pour faciliter l'échange commerciale et politique entre les partis. Avoir un Sièges au conseil.
-À la demande du Sultant de Nardjam: Restauration du commerce d'autre fois entre Umbar et la cité des Sables. Des sièges accordés au haradrim au conseil.
-À la demande de Varia: Une total loyauté provenant de l'insoumise et un siège au Conseils.
Un nouveau conseil d'Umbar serait formé. Après multiples négociations où le général de Nardjam était trop vorace, il fut décidé et signé que le conseil accueillerait un total de 10 sièges ; 5 pour les hommes de Numenor, 3 pour les haradrim, 1 pour les Orientaux et 1 pour la guilde du Fléau des Steppes. Tous signèrent le traité et le nom des témoins furent ajouter.
...
Karim venait d'arriver au palais. Il n'avait pas mis les pieds à Nardjam depuis très longtemps. À la fin du traité, le Général de Nardjam s'empressa de l'approcher pour une convocation d'urgence auprès du Sultan. Le couturier prit le temps de faire le chemin en chariot pour pouvoir se reposer durant le trajet.
À l'entrée de l'enceinte, 2 gardes escortaient le général vers l'extérieur. Celui-ci se tenait le visage par déshonneur, mais aussi pour essuyer le sang qui coulait de son arche sourcilière. La situation n'était déjà pas très habituelle, qu'elle fit monter un sentiment de stresse chez lui. Devant le monarque du sable, il ne reçut, finalement, que des félicitations. Le sultan, de son attitude neutre, voyait les exploits du Trug Kritar comme celui du héros des haradrim; un suderon qui prit en main la cause de la libération du sud. Contre toute attente, il n'eut aucune pitié pour dénigrer le général devant lui. Plus encore, il voyait en Karim le respect d'un dirigeant, ce disant heureux qu'un homme de loyauté lui serait plus que bénéfique proche de lui. Il lui proposa le post du général au sein de ses troupes. Prit d'étonnement et en toute respect, le couturier refusa le titre que la majesté lui offrait, prétextant que ce n'était pas dans son domaine d'expertise que de gouverner une aussi grande armée.
Sultan : Alors ? Que puis-je offrir à l'illustre homme que tu es ? Tu as déjà la richesse, la renommée, les contacts...Je te trouve plutôt modeste pour un haradan de ta compétence. Savais-tu que lors du traité de l'insoumise, nous avons négocié 3 sièges au conseil ? C'est ainsi que je vois ton avenir, représentant des Haradrim à Umbar. Et qui de mieux pour le faire que Karim le Haradan ?
Karim : Sans, une fois de plus, vous manquez de respect ; On m'avait déjà offert une place et j'ai dû décliner l'offre...
Sultan : Certainement. Mais cette fois-ci, c'est le Monarque des sables qui te le dit.