Le commencement.

[Franky]

Le jour venait de prendre sur le fort Harnast et au tire-veille du soleil Karim arrivait. Sa monture tenait le chemin après la longue nuit passé à la chasse et au commerce entre contrebandier de la région. Bien sûr que cela ne l'enchantait guère de devoir couper dans son sommeil pour parvenir à être connu, mais il se disait qu'un jour viendrait où ses talents seraient utilisés a bonne ordre. Sur le chemin vers la banque, il croissait les mêmes soldats qu'à l'habitude. Ceux-ci avait l'écusson de la garde du Gondor porter fièrement sur eux, ils marchaient la tête haute en ce ventant de leur honneur d'autre fois.

Mais ce n'est pas ce qui arrêtait le suderon né proche de Nardjam.  Toute son enfance, il entendit son père dire de mauvaises paroles contre ses hommes venu du nord,  profaner les clans qui étaient alliés de l'ancienne citée pirate. Celui-ci pensait dure comme fer que le peuple des haradrim étaient sous-estimer par ces petits « bâtards à la peau blanche ». Et quelque part, Karim savait bien qu'il n'avait pas tort. C'est ainsi qu'une solide haine envers eux fini par se développer lentement. Aujourd'hui, maintenant qu'il marchait vers la banque du fort, il se souvenait de tous les commandes qu'il fut forcé de faire à ces pourris de gondorien, pensant qu'ils n'étaient pas ceux que les gens croyaient. Mais c'était tout le contraire.

Au fur et à mesure qu'il avançait dans les jours, il remarquait la haine autour de lui.  Comme si le peuple avait été élevé dans la même mentalité durant si longtemps, qu'il ne restait qu'une rage qui ne pouvait pas sortir à cause d'une soumission forcé. Plus le couturier était connu, plus il donnait son point de vue face à ces peaux blanches.  Bien sur, il remarqua que beaucoup n'était pas du même avis, mais il n'était pas aussi allumé comme Karim était...ou simplement pas assez fou. En ouvrant la porte de la banque, il vut l'homme au turban dans le coin. C'était l'un de ses bons amis. Les deux se connurent, car il avait les mêmes client et peu de temps par la suite, ils étaient des très bon ami. Bizarrement, les deux pensaient pareil, mais lui était beaucoup plus pire avec sa version contre ceux du Gondor. Les deux avaient démarré une petite affaire ensemble qui pouvait devenir énorme à long terme et ils décidèrent de commencer dans le fort Harnast. Les haradrim étaient sur le point de s'acheter une maison dans laquel tous les métiers de la cité serait les bienvenues. Et comme ça, une nouvelle visite économique serait présente dans le fort.

Karim semblait concentrer sur la maison, tandis que son ami lui racontait une vieille légende à propos  de gens de l'ancienne Umbar qui serait révolté contre l'ancien conseil qui n'est plus. L'histoire semblait l'intéresser, même si elle n'était pas vraie en totalité. Ce que pensais le suderon, c'était les affaires avant tout. Alors, ils s'entendirent pour en reparler plus tard. Plus tard dans la journée, il fut rencontre de quelqu'un qui semblait l'attirer, au début, c'était une femme bien sûr. Il décida de la suivre jusqu'à l'auberge où il rencontra un homme assez bizarre, ma voie. Il s'appelait Merezad, c'était le grand chef du fort. Après lui avoir longtemps parler de sa vie ainsi que de ses projets envers Harnast, il comprit assez vite que ce n'était pas le même but. Les deux suderons se regardaient longtemps, Merezad était bien trop fier d'être avec les gondoriens, à un tel point qu'il ne voulait plus de soutien, quel qu'il soit. Ce que Karim remarquait, c'était que les peaux blanches l'avaient tellement gâté qu'il ne voyait plus clair, mais à un tel point que ce n'était que du dégout. La colère venait l'atteindre et rien de bon s'annonçait. Ce que son père lui disait, autre fois, était en traine de revenir dans sa mémoire.

Alors, c'est ainsi qu'il réussit à pencher totalement du mauvais côté, Merezad était la goutte qui faisait tout renverser. Subtilement, il lui demanda des informations sur le fort. Et plus surprenant, il réussit à avoir ce qu'il voulait en le manipulant. Ce qui lui manquait, c'était des fidèles pour réagir face à ce tirant et enfin libérer le peuple face à la menace du Gondor. Il se rendit, dans sa nouvelle maison, avec espoir que son ami se joindrais à lui, comme les autres du même avis.

De jour en jour, il manipulerait les gens contre leur chef avec tous les moyens qu'il dispose, en but de rétablir la justice.

[Franky]

Plus les jours passaient, plus les gens commençaient à avoir une certaine confiance face à Karim, le grand couturier. À chaque fois qu'il avait l'occasion de vendre quelques choses, il parlait contre le gondor. Au début, il n'y avait pas d'impact, mais un après l'autre avec du bouche à oreille...Celui-ci les manipulaient assez facilement comme des pigeons qu'on aurait nourrit avec des petites graines. Mais rien était fait encore, car secrètement, il se créait des complots dans le fort Harnast contre le chef. Bientôt, son plan serait mit à exécution.

[Franky]

L'homme de fier allure marchait avec son arc en main. Devant lui se tenait des gardes à l'emblème du Gondor sur leur torse. Il dut, évidament, se faire interroger pour pouvoir entrer dans le fort, ce que Karim trouvait vraiment stupide, car il habitait là et beaucoup de gens le connaissaient par les métiers auxquels il avait du talents. Ce qu'il ne comprenait pas, c'était de voir un aussi grand nombre de garde inutile. Merezad devait vraiment être troublé par les "rumeurs" qui circulaient dans le fort.

Avec un peu de chance, le couturier serait en mesure de trouver de bon allier pour combattre certaine injustice et lorsque ce jour arriverait, il sera en mesure de déclencher son plan...

[Franky]

Les dires du Fort Harnast étaient plutôt puissant depuis quelques temps. On entendait dire que le grand Chef Merezad avait fait venir des troupes du Gondor en supplément. Karim qui était encore sur son travail, reçu la visite de l'homme. La conversation roulait autour des troupes de renfort, ce qui ne plaisait pas vraiment au couturier ultérieurement. Même si le Chef faisait venir des hommes ici, le "marchand" était certain qu'il y aurait rébellion contre les nouveaux gardes. Il se précipita pour envoyer une missive en direction de Variag, en secret:

Cher Xsungwë,

Je vous envoie cette missive en but de vous prévenir d'une prochaine visite vers la cité Variag. Le Chef Merezad du fort Harnast, serait sur le point de venir "parlementé" avec votre cité. Ne prenez pas le message à la légère, car il compte venir avec le soutien de troupes du Gondor. Au moment que j'écris cette lettre, le Fort semble rempli de ces pourritures du nord.  Je vous conseil donc, de vous faire discret, car d'après ces dires, il ne semble pas vous faire confiance.

Soyez attentif au prochain évènement,

Karim, couturier et bricoleur du Fort Harnast.

De son côté, il attendrait quelques heures et commencerait a parler aux gens contre le Gondor pour faire une rébellion civil.

[Gaun]

Comment le chef du fort harnast en était venu à déduire que Xsungwë était un envoyé des Variags?
 Karim lui avait-il parlé? Ce n'était pas dans son intérêt pourtant, de vendre un tel appui à sa cause. Il devrait peut-être se méfier de ce nouvel "allié" à l'avenir...
C'était forcément cela, il était la seule personne du sud à qui il avait clairement exposé les plans.
Xsungwë contempla les nuages d'un air absent, le Gondor ne serait pas en position de négocier quoi que ce soit hors du royaume réunifié. Le Khand était resté indépendant et sa force grandissante l'autoriserait bientôt à sortir de l'ombre.

[Roux]

Les rumeurs allaient bon train et dans son coin mal famé du fort, Rumkarm fini par en entendre parler. Reprendre ce qui doit appartenir au hommes du Sud était très intéressant. Ce seul fait était cependant de peux d'intérêt pour le fanatique. La perspective de faire souffrir les gens du Gondor, les indignes descendant d'Akallabeth, venait titiller sa curiosité. Sacrifier quelques impurs au nom du grand dogme semblait des plus appropriés.

Rencontrer l'instigateur de cette affaire devenait de la plus haute importance.

[Franky]

Les messagers des gardes venaient d'arriver. Le bruit courrait que le chef Merezad était rendu à la cité Variag et qu'il y avait placé ses troupes dans un campement non loin de la cité. Au loin, il semblait qu'on pouvait voir la cité avec les femmes et les enfants qui quittaient Variag, en cas d'attaque sur la cité ennemi, du nouveau Royaume. Ceux-ci iraient vers le Nord-est pour se réfugier dans un camp similaire aux hommes de Variag, où ils seraient grandement protégés par les alliés du conseil.

De son côté Karim demanda à quelques hommes de remplirent leur carcaisson avec des armes et pour la première fois, de s'habiller de leur tenu rouge secrète. Il comptait bien se présenté à la cité Variag dans les jours suivant pour aller porter mains forte à son nouvelle allié...Xsungwë.

[Gaun]

Le moment était finalement venu. C'était le Royaume Réunifié qui provoquerait finalement la cascade d'évènements. Les peuples de l'Ouest des terres du milieu ne connaissent encore que très peu de choses du peuple Variag. Nul ne connaissait leur nombre ni même leurs intentions mais on savait qu'ils ne tenaient pas à se joindre aux cerfs d'Annuminas et qu'ils défendaient même leur territoire face aux intrusions.
Ils étaient en grande partie des gens de l'Est, hors des territoires recensés par les gens des côtes, ainsi que des exilés numénoréens ou hardrim qui n'avaient pas souhaité subir l'occupation du Gondor suite à la chute d' l'Oeil.

Ce petit chef de village avait violé le territoire Variag à la tête de quelques hommes, ce geste ne resterait pas impuni, mais les dirigeants de la ville étaient avant tout d'écouter le Haradan sur les raisons de sa venue. Ce dernier apprendrait à ses dépends que la cité Variag n'était pas un simple campement fait de bric et de broc mais une véritable place forte abritant une force insoupçonnée. En près de deux siècle la ville s'était étoffée et le pouvoir de ses dirigeants s'était accru.

 Xsungwë tenait à la table du fort une place particulière, il était le seul à avoir vécu la naissance de la ville, le temps ayant emporté ses camarades de l'époque, mais lui n'avait pas changé. Le sommet des dirigeant Variags venait de prendre fin, ils recevraient bientôt Merezad. Pendant ce temps, les hommes se prépareraient à l'affrontement.

[Roux]

La discussion qu'il avait eu avec Karim, avant qu'il ne quitte pour la cité Variag, avait été fort intéressante. Le rôle qu'il lui avait été confié dans cet affaire lui convenais parfaitement. C'était simple, il devais d'un côté entrer dans les bonne grâce de Merezad. Ce chef faible, désillusionné par le Gondor ne devrait pas trop être difficile à approché. D'autant plus qu'il avait amplement de temps pour préparer son affaire puisque le Suderon était parti en voyage au Nord pour faire je ne sais quel connerie. De l'autre, il devait organiser un diversion, lorsque la révolte aura officiellement lieux. Ce point risquait d'être un peux plus compliqué. L'entente visait à convaincre les brigands et leurs chefs de bien vouloir embrasser leurs cause et attaquer le fort en même temps que le déclenchement du coup d'état.

Le plan était bon, mais maintenant, il devait mettre tous les rouages en place. L'avenir s'annonçait bien pour Rumkarm. Peut-être même aura-t-il quelques personnages important à torturer et sacrifier pour la gloire de son culte.

[Gaun]

La rencontre avec le chef du fort Harnast s'était passé plus calmement qu'il ne s'y était attendu. L'arrogance du Royaume Réunifié n'était donc pas si poussée que cela, et c'était une bonne chose que de retarder les hosilités pour quelques temps encore.
Merezad resterait en ville pour constater par lui même que le Khand n'était pas l 'auteur de l'empoisonnement du fleuve, en subissant lui même les conséquences. Quant aux troupes armées elles avaient été sommées de quitté les terres du Khand sur-le-champ.

Cette affaire passée Xsungwë pouvait à nouveau se concentrer sur son départ au nord. Il fit prévenir Karim que le voyage était imminent.

[Franky]

Quand il fut finalement prévenu, il envoya une missive à sa vendeuse Tesia. La lettre expliquait que pendant son voyage, elle devait surveiller le fort et le commence avec les hommes restant. Même si le message avait été passer, Karim savait que Rumkarm ferait acte de grande prudence dans les prochains jours à venir. Il espérait que ses plans marcheraient à merveille lorsque qu'il serait revenu.

Il parti rejoindre les troupes d'hommes qui était déjà en chemin vers le nord, encore une fois ses hommes seraient différencier par leur tenu rouge.

[Franky]

Les hommes étaient finalement revenu du nord. Après quelques jours de repos, Karim prit la décision de faire avancer encore plus les évènements. Ses idées étaient maintenant clair et dans quelques jours encore, son plan serait mit à exécution.

[Franky]

«  HEY REGARDEZ!  Ils sont enfin arrivés! »

S'exclama l'air très joyeux un petit enfant, qui regardait du haut de la muraille. Aujourd'hui, c'était la venue des convois de nourritures. Mais quelque chose de surprenant se passait, le peuple c'était réuni une fois de plus vers la porte du sud-est, pour accueillir les hommes qui apportaient à manger. Ce qui était très inhabituelle, c'était de voir des hommes vêtu et camouflé par leur turban rouge sanglant qui s'approchait à chaque seconde vers le grand fort. Évidement, depuis très longtemps, on n'avait pas vu ce genre de spectacle. Pour cette fois, ce n'était pas un convois venant d'Umbar, mais bien un convois aux bannières rouge et or qui appartenait à la compagnie marchande d'Harnast. Les hommes qui protégeaient le convois étaient armés d'arc et de sabre, sans oublier leur bouclier de bois renforcé par le fer des régions de l'Haradwaith. Ceux-ci avaient forte allure sur leurs montures, on pouvait voir qu'ils avaient fait long chemin pour finalement arriver ici. Et une fois rentrée à l'intérieur de la cité, le peuple ne savait que dire en voyant les hommes, tous étaient surpris de voir Gallilem. Il avait réussi à se faire connaître à force de trainer au prêt du couturier de renom, il faut dire que même pendant son absence, on entendait parler de lui, il était quand même son bras droit et une très grande connaissance de longue date.

Très peu de temps après leur arriver, on pouvait voir Karim marcher au travers des gens, habiller de jaune aussi propre que le soleil lui-même. Les gens le regardaient aller le saluer amicalement en ouvrant les bras. Tellement de temps c'était écoulé depuis leur dernière rencontre. Quelques mots finirent par s'échanger et les deux hommes se retournèrent pour visionner une bonne majorité du peuple du Fort Harnast. Quelques secondes de silence se furent attendre...

« Mes frères...et mes soeurs. Comme sommes-nous réuni en cette magnifique journée! Aujourd'hui est un jour à marquer d'une croix blanche mes amis. C'est le premier jour depuis TRÈS longtemps que vous voyez le fort Harnast apporter son propre convois. Et c'est ainsi que moi, Karim, Gallimen et la compagnie marchande du Fort Harnast, nous vous offrons ces bonnes caisses rempli d'eau,  de viande et de tout ce que vous voulez! Mangez à votre faim et dites-vous que ce n'est que le commencement d'un air nouvelle! »

Les acclamations et applaudissements se firent entendre, beaucoup savaient ce que voulait dire les derniers mots. Les toiles du convois se mirent à s'ouvrir. Au fur et à mesure, les chevaliers des sables, habillé de rouge, donnaient des boîtes à chaque famille de la cité. Certains gardes du peuple avaient l'air heureux, tandis que d'autre non. Et ceux qui n'étaient pas aimant de l'acte étaient principalement des hommes au torse habillé de l'arbre blanc du Gondor. Ils étaient nombreux a ne pas aimer ce que Karim faisait pour le fort. Les rumeurs commençaient à parvenir à leurs oreilles. Elles stimulaient que le couturier proclamait l'indépendance pour chaque haradrim et les gardes voyaient bien qu'il possédait une très grande majorité du peuple de son côté. Il faut dire que depuis le premier jour, il connaissait énormément de gens et en secret, il réussit à manipuler plusieurs d'entre eux contre les gardes et le chef Merezad.

Pendant que son bras droit continuait à lui raconter son long voyage de la jungle, l'un des gardes  infiltra la conversation. Il était principalement en charge des aller et venu dans le fort et il savait ce qui se passait à l'intérieur. Après Merezad, il devait bien être l'un des plus informer et ses rapports ne devaient pas être plaisant vu la réputation qu'il détenait. Ses explications étaient clairs, il ne voulait pas revoir ce genre de situation à l'avenir, pensant que le fort était approvisionné seulement que par eux et personne d'autre. Tellement sévère,  il en parlait comme s'il était sur le point de confisquer le convois de nourriture, chasser par les hommes du sud.

Et malheureusement, ce fut la goutte qui faisait déborder la bouteille. Pris d'énorme colère et très peu soucieux de savoir ce qui se passerait par la suite, Gallilem s'approcha pour lui refaire le portrait avec son poing. Mais à la dernière seconde, le chef venu l'arrêter! Les deux se mirent à regarder les cieux et ce qui faisait l'ombrage au-dessus de leur tête. Pendant les millièmes de secondes, on pouvait voir le soleil qui venait se cacher à l'arrière d'un objet qui ressemblait, au premier coup d'œil, à une épée. C'était une baquette de pain qui sortait de la foule autour d'eux et qui venu se fracasser contre la tête du garde devant d'eux. Le coup était assez fort pour que le garde en perdre son équilibre. Un temps de décalage, il y a eu, pour regarder l'air frustrer les gens du Fort Harnast. Il faut dire que ce n'était guère une bonne idée, car il ne reçut pas qu'une seule baquette de pain à la tête. C'était devenu le chaos total à la porte, le peuple se révoltait contre le garde en question. Ça ne pris que quelques temps avant de voir arriver une troupe de renfort pour aller rechercher leur confrère en difficulté.

Une autre troupe se dispersa pour aller calmer la foule qui venait demander justice! Karim et Gallilem regardaient ce qui se passait, on pouvait y voir des hommes qui frappaient sur les gardes qui étaient en minorité face à la population présente. Le couturier ne pouvait demander mieux, il n'avait pas eu besoin de sortir l'un de ses plans farouches, il n'eut qu'à laisser faire le temps et le peuple.. Lui et ses hommes se rendirent à la place marchande, loin du vacarme que causait les haradrim du fort. On pouvait y voir les femmes et les enfants qui fuyaient en grand nombre pour d'extirpé de l'affrontement, aussi loin possible.

Karim fixait la population qui défendait leur droit face à ces tirants (du moins, ceux qui ont participés). Il se retourna pour regarder son bras droit, ses yeux en disaient long sur ce qui se passerait dans les prochains jours.

Ce n'était que le commencement...

[Roux]

Rumkarm entendant dans sa bibliothèque les clameurs de la foule sourit en sortant son nez de son livre. Enfin, le coup d’état se rapprochait et il semblait que la population leurs donnerait l’aide dont ils avaient besoin. Il devrait aller parler à Merazad le plus rapidement possible, pour le pousser là où il le voulait et enfin, se débarrasser de l’oppression malsaine de ces maudits Gondorien.

La révolte des gens du Sud était maintenant chose presqu’accompli. La prochaine ville à regagner sa souveraineté sera Umbar, Le sang Numénoreen coulera de nouveau dans les hautes sphères de l’administration !

[Razaek]

Non loin de la plus au nord les derniers préparatifs étaient en branlent. Accouder à la palissade du deuxième étage Rasaek observait la vingtaines d'hommes qu'il avaient recruter avec Asareck pour l'évènement.

Ont affûtaient lames et flèches. Ont avaient remis à tous une cape et bouclier identique pour pouvoir ce reconnaître le moment venu. Le dernier mois les hommes sélectionner avait été guider jusqu'à la forteresse. L'entraînement pouvait commencer mais plus important encore les hommes allaient devoir apprendre à se connaître. C'est leurs liens, leur connaissances d'eux mêmes qui les feraient triompher et rien d'autre. Tous dormaient dans le dortoir au deuxième étages Asareck et moi y comprit. Nous étions en tout point égale nul ne seraient traité différemment.

Dans 4 jours nous serions tous êtres confrontés à une même épreuve. Les risques étaient importants et la récompense considérable. Mais nous prirent bien soins que les hommes sélectionner était intéresser avant tout par la cause qu'ils défendraient que par la récompense.

[Franky]

Le Premier jour.

Tous étaient finalement réunis. Ils se trouvaient dans les sous-sols de la maison de la compagnie marchande. Secrètement Gallilem et Karim avait fait construire une sale bien camouflé à l'arrière d'un mur et de roches. Tout ce qui se trouvait à l'intérieur y restait, sous peine de mort. Une fois entré, les hommes se faisaient éclairer par de faibles luminosité, causé par les torches accrocher sur les crochets.

Une fois tous en placent sur les chaises de pierre, le couturier prit parole. Il leur expliqua le plan. Rumkarm venu apporter quelques précisions pour celui-ci et ils finirent par comprendre et où ce que Karim voulait en venir.

Durant la nuit, des hommes se mirent à la chasse aux gardes. Une troupe d'homme se rendirent au point   du feu d'alarme d'Harnast et en prirent contrôle en tuant et cachant discrètement les cadavres. Ceux-ci prirent l'apparence des gardes en prenant leur arme et armure. Et en cas d'attaque, au moins quatre autres hommes marchaient autour, en secret, s'il y avait des problèmes. Des rapports parvenaient aux oreilles de karim à chaque jour.

Durant ce temps le peuple ne lâchait pas. Même s'il commençait a avoir une grande concentration de soldats au torse de l'arbre blanc, la population faisait un blocus à la porte sud-est. Certains étaient soutenus par de puissant hommes du peuple et peut-être même des ennemis qui se situaient dans l'haradwaith et ses environs. Le peuple était sur le point de prendre les armes...

[Franky]

Deuxième jour.

Aux petites heures du matin, Karim était déjà à la recherche d'animaux à chasser. Comme de fait, il ne trouvait pas grand-chose dans les terres de l'Haradwaith, mais il continuait de suivre les traces qui se dirigeaient vers le sud de l'ancienne citée des pirates. Sa monture exécutait un bon jeu de jambe quand  elle finit par croisée un autre homme. Il détenait l'une des plus rares chevauches de la terre du milieu elle-même, son noir venait ressortir avec les terres et chantier battu du sud. L'homme qui le montait était camouflé d'un turban. Il n'eut que peu de temps avant de reconnaître, finalement, Merezad le chef du fort Harnast. Les deux étaient contents de se voir, mais ils ne parlèrent effectivement pas du beau temps.

Après une longue discussion sur ce qui se passait, les « deux » conclurent qu'il devait se passer quelques choses pour régler la situation. Merezad ordonnerait aux gardes gondoriens de prendre seulement la partie nord du fort, donc le quartier militaire. Tandis que Karim, lui, devait se charger de calme le peuple. En fin de journée, il se rendit au fort où il se faisait accueillir comme à l'habitude. Il prit parole du haut de la muraille en disant ce que Merezad lui avait dit: « Si je me fais remplacer, il y a de forte chance que sa soit par un homme plus sévère, qui vient d'Umbar  et un gondorien ».

Avec grand espérance, le peuple reprit un peu de son calme. Mais l'un des hommes du bricoleur, déguiser en marchand venu remettre le feu dans la foule de suderon, comme prévu. Les gens du fort prirent possession de la partie sud au grand complet, sauf le palais et se préparaient a une attaque. Le plan de Karim marchait à la perfection. Peut-être que le jour suivant serait plus mouvementé. Tout ce qu'on savait, c'était que Merezad devait désormais être au courant des dernières tentatives pour le fort.

[Franky]

Troisième jour.

La révolte continuait. Certains gardes haradrim du fort finirent par se joindre à la mutinerie contre ceux en faveur du Royaume Réunifier.  Le troisième jour était le commencement des jours féroces dans le fort Harnast. Même si le peuple et les gardes étaient séparés par le fleuve empoissonné, les deux camps réussissaient à atteindre l'autre rive. Le gondor qui prenait le quartier militaire effectuait des plans contre les opposants. Plusieurs charges avaient été effectués, même pendant la nuit. Mais ils ne réussirent jamais à toucher aux feux d'alarme du Fort. C'est à ce moment qu'ils comprirent que même le palais avait réussi à se faire prendre par les suderons.

Karim ne voulait pas leur laisser aucune chance ou pitié. Il savait que Merezad enverrait des messagers en direction du campement de renfort vers le nord. C'était prévu depuis le début et ceux-ci se faisait intercepté et exécuté par les hommes vêtu de rouge. Il était maintenant trop tard. La révolte avait pris le déçu sur le Fort harnast et Merezad. Même si un messager se rendait à un point fixe pour demander de l'aide et renfort, il serait déjà trop tard pour s'y rendre.

Le soir même, on pouvait y voir deux cadavres de garde au torse de l'arbre blanc, pendu contre les murailles. Sur eux, les insignes du Royaume Réunifier étaient en flamme. Les morts brûlaient, les gens criaient leur rage.

Les nouveaux Loyalistes détenaient la ville, ce n'était qu'une question d'heure...

[Telumethar]

C’est dans le fond d’une chaumière que le vrai visage des combats ce fait voire, c’est à cette endroit que le monde de demain ce voie tranquillement forger ou sauvagement abattue. C’est loin des combats que le plus grand des maux sévit sur les gens les plus courageux, mais aussi les plus faibles.

-Le peuple, le peuple! C’est un bien grand mot. Même si la joie avait emplie les cœurs de bien des bonnes gens. D’autres l’avaient eu remplie de crainte et n’osaient plus pointer leur nez dehors. La guerre, la guerre encore la guerre et pourquoi? La fierté ? Mais la fierté de qui? Même sous l’Œil le peuple n’avait pas été aussi bien traité que sous le nouveau Royaume… Ce n’est pas le soldat qui amène du pain sur la table.

Tous n’étais pas du même avis mais, ils n’osaient pas le dire le nombre était trop grand et les langues salles, comme il en a toujours dans ce genre de conflit, étaient au aguet et qu’arriverait-il a  ceux qui s’opposerai? Ils seraient pendue voir même pire. Tant d’année de vie et de labeur dans un travail pour voir le fort à nouveau en guerre.

La guerre, la guerre qui sont-ils pour déclencher des combats qui n’ont d’importance que pour leur bourse ou leurs fierté?
Qui nous écouteras qui finira par écouter la voie de la raison et mettre fin a des conflits plus vieux que les murs de ce fort?

-Grand-mère, grand-mère…
-Oui mon enfant?
-Il ne reste plus beaucoup de pain…
-Je sais mon enfant, je sais Les soldats doivent manger et nous sommes encore chanceux les voit de ravitaillement sont ouverte… quand elles seront fermé nous ne mangerons que des racines.
-Les soldats vont nous aider si cela arrive?
-Les soldats haïront leur chef pour les avoir mené dans un plan suicidaire…
-Mais si le plan marche?
-Alors il aura d’autre combat et d’autre enfant comme toi auront faim.
Alors que d’autre verseront leur trippe sur le sol a la gloire d’idéaux révolue. Elle ce retint de dire haut et fort ce dernier propos.

La vielle dame usait du mot soldat mais c’était loin d’en être… ce n’était qu’une rébellion rien de plus et aucun d’entre eux n’avait le droit d’avoir ce titre. Guerrier tout au plus… Et tot ou tard ses guerriers devront avoir de l'or... ils ont aussi une famille a faire vivre.


Devant les gardes mort des gens criaient leur rage et d’autre cachaient leur peine ces gardes avait aidé plusieurs d’entre eux avec le sourire, avaient été juste et impartiale mais avait aussi fermé l’œil sur un acte illégale quand celui-ci n’était que pure bon sang. Ils avaient été dans le fond. De bon soldat, un jour le sourire et aidant, l’autre mort au combat avec honneur. Car ils s’étaient battue pour protégé le peuple du fort… Pour eux la fuite auraient été pire que la mort.

Le nom des Soldats mort durant la prise fut envoyé aux supérieur et les familles eurent la visites de capitaine en uniforme annoncent la mort de leur enfant. La haine des parent ne fut pas envers les assassins mais envers l’Arbre cette arbre blanc qui avait envoyé leur fils si loin de chez eux pour éduquer un pays qui aurait du être tout simplement balayer de la carte

[Morenlor]

"Quel imbécile..."

Merezad était pris au piège sans comprendre pourquoi.

N'avait-il pas fait tout son possible pour rendre le petit peuple du Fort Harnast heureux ? Apparemment non, car celui-ci à présent se révoltait et le pire, c'est qu'il était sous les directives de Karim, ce si gentil marchand...

Merezad tremblait de rage... et de peur à la fois. Le peuple semblait le considéré comme un usurpateur, un profiteur, alors que son unique but était de fortifier des liens d'amitié avec le grand peuple de Gondor, il pensait les hostilités finis depuis bien des années et rêvait d'une grande paix dans l'amour et l'amitié.

Mais il s'était trompé sur toute la ligne.

Seulement, il n'allait pas laissait tout cela se passer sans rien faire, oh que non...

[Franky]

Quatrième jour.

Les minutes continuaient de passer.

C'était le grand calme plat, à croire que Merezad pouvait encore venir mettre des bâtons dans les roues. Aujourd'hui était le grand jour, Karim savait ce qu'il se passerait. Les troupes civiles étaient prêt à intervenir lorsque le chef de la rébellion leur ferait signe. Mais celui-ci attendait la grosse partie de son plan, qui était en chemin depuis les derniers jours.

Dans le refuge secret de la guilde marchande. Ils continuaient à comploter avec ses hommes. Ceux-ci étaient de nouveau sur leur chaise autour de la longue table. Le couturier, qui restait calme, laissait parler son bras droit Gallilem, qui était revenu depuis peu avec un autre petit convois de maigre nourriture, venu de l'Haradwaith. Il expliquait la fin du plan et tout ce qui se passerait par la suite. Si un conseil devait être formé au fort, le plan ne devait absolument pas échoué. Quand les hommes finirent par quitter, avec toute les informations nécessaires, on pouvait les voirs sur chaque coin d'Harnast. À L'est, au nord, sud ou l'ouest, tous étaient présents. Tous se battraient avec le peuple et tous seraient égaux...Non comme des vermines auquels on n'a enlevé le pouvoir, mais bien comme des frères d'armes.

Au loin vers le nord, un maigre tas de poussière et de terre soulever vers les cieux lui redonna un petit sourire sur son visage. Il descendit du plus haut toit ; le palais. Et se rendit jusqu'au abord du no man's land. Le dernier coup de la rébellion pouvait commencer.

[Morenlor]

Merezad avait fuit pendant la nuit, maintenant, il espérait atteindre le plus rapidement possible la cité gondorienne la plus proche, soit Pélargir, afin d'informer le Gondor de ce qui se passait sur le gué.

Il fallait le plus rapidement étouffer cette rébellion, qui sait combien de personne ce marchand pouvait encore manipuler.

Il galopait à vive allure vers le nord, seul, espérant que les routes soit sures et qu'il ne tombe pas dans une embuscade...

Bien sur il éviterait les routes tant qu'il ne serait pas en sécurité.

Maudit soit ce Karim et ses idées absurdes, menaçant la paix dans le sud...

Le Gondor enverra surement des renforts, il serait idiot de laisser tomber cette endroit stratégique...

[Tiramankan]

Sunjata aimait l'argent.Son métier de forgeron lui rapportait certes un salaire assez élevé pour vivre,mais pas pour faire quelques folies...
Jeté mais libéré de Prison à cause d'un simple malentendu,le forgeron évitait de trop traîner au Fort Harnast...Il faut dire l'ambiance était plus que suspicieuse !
De plus,l'homme aux belles étoffes avait disons quelque chose à faire...Un travail qui ne lui plaisait pas énormément,mais qui pourrait lui rapporter quelques petites bricoles...
Sunjata avait parcouru beaucoup de lieux...Umbar,Capital Variag,Khand,l'expert mineur était fatigué,puis tendu de trouver des habitants aussi peureux que lui à l'âge de deux ans et demi...
En effet,dans toutes les grandes cités du Sud,excepté le Fort...peu étaient les habitants qui osaient sortir de chez eux...Il faut dire qu'entre l'invasion des rats à Umbar,ce qu'il se tramait au Fort,et les êtres malfaisants dans les montagnes près de Khand,on pouvait naturellement comprendre le pourquoi de leurs décisions...néanmoins,des gens courageux,et il y en a toujours,étaient présents lors de grande discussions qui se déroulaient le plus souvant à l'extérieur des  cités,très loin des montagnes...
A l'inverse de Karim,Sunjata était peu connu...Mais à l'aide d'une ou deux belles phrases,d'une bourse qu'il glissait dans les poches des parleurs,de sa taille et de sa carrure,et d'un aimable sourire hypocrite,Sunjata parvint à se faufiler dans beaucoup de discussions...Hélas,tout ce qu'il put en tirer,c'est que paysans,artisans,et même guerriers étaient pétrifiés à l'idée que leurs vies puissent être un peu mouvementées...



Sunjata rentra donc bredouille de son périple.Oui,son voyage n'avait pas été fait sans incidents...Une querelle avec un Numenor qui lui avait volé son armure,une rencontre un peu plus loin en Haradwaith qui lui avait couté sa monture...Sunjata avait pourtant rencontré quelqu'un en Capital Variag qui avait valu le détour....Cette personne aimait l'argent,elle aussi...
Rentré au Fort,il évita de croiser Karim...Quelle serait la colère de ce couturier si jamais il apprenait que Sunjata était rentré sans aucune information de valeur..?
Toutefois,même si Sunjata n'avait guère confiance aux gondoriens..,qui aurait déjà du amené du renfort pour l'invasion des rats à Umbar.. ,il n'appréciait pas énormément les grosses brutes sans esprit du Fort...Piètre combattant,il se dit que ces colosses entendraient parler de lui...mais plus tard...
Pour l'instant,il était préoccupé par autre chose...Une chose qui peut-être,pourrait se mélanger à la rebellion du Fort...

[Franky]

La soirée du Quatrième et le matin du Cinquième jour.

L’eau empoissonnée était calme. Les  vagues de la rivière venaient se frotter contre le petit éclat que produisait la luminosité de la lune sur les rochers.  Sur les deux côtés, on pouvait tout de même y entendre quelques sons, surtout des respirations causées par le stress. Plusieurs torches étaient allumées aussi. Le « débat » tant attendu allait opposer des citoyens, face à des soldats.  Tous attendaient un signale pour charger sur le no man’s land, mais rien ne se disait réellement.  Karim et Gallilem étaient sur la première ligne, suivie du peuple du Fort Harnast qui en avait déjà assez d’attendre.

Finalement, on finit par apercevoir le sergent de troupes ennemies s’avancer avec une missive et un garde. Pour faire des négociations bien sur, le chef de la rébellion et son bras droit firent de même. L’eau était froide ce soir là et l’avancement long, car elle arrivait au début des mollets près de la cuisse. Quand tous furent face, le gradé se mit à lire la missive qui venait surement d’être écrite :

«  Au nom  du Royaume Réunifier et de son grand Roi… »

Mais Karim en prit peu conscience de son discours. Il savait déjà  ce qui devait être dit. Il n’était pas prêt à laisser son peuple revenir comme il y a quelques mois. Rendu où il était, abandonner le peuple et son projet serait totalement inutile. Rien ne changerait et tout redeviendrait comme avant, à long terme. Pendant la lecture, il aima mieux observer ce qui se passait réellement. Ce qu’il remarqua, c’était que Merezad n’était pas à ce rendez-vous cette fois-ci.  Peut-être n’avait-il pas sa place sur la première ligne, dans la bataille ou à la négociation pour sa propre sécurité.  Il observa le très peu d’homme armé sur le côté nord du fort. Il n’en eut aucune réelle pensée.  Même si  la majorité l’emporte normalement, une troupe de soldat entrainé face à des citoyens peuvent facilement prendre le déçue quand ils le veulent.  Tout dépend de la tactique.

Lorsque le sergent eut fini, le silence s’installa.  Gallilem regardait son vieil ami au travers de son turban et le couturier prit parole. Ce fut assez bref. Les mots étaient clairs et aucune personne dans les deux camps étaient prête à laisser le Fort Harnast à l’adversaire.  Tous repartirent de leur côté, la frayeur commençait à se sentir  autour de la rivière. Rendu à bon point, le chef Loyaliste sorti son sabre rouge sanglant et venu le porte vers les cieux.  La foule de commerçant,  garde, allié et civil se mirent à hurler de leur rage. Devant eux, les boucliers se firent voir. Leur formation militaire avançait tranquillement au travers les eaux empoissonnées.  On pouvait y voir les archers se mettre à tirer d’un côté comme de l’autre.

 Deux signaux furent envoyés. Un pour avertir que le plan était en marche et l’autre pour lancer l’assaut. Les armes  et les cris finirent par traverser l’eau pour aller se fracasser contre les boucliers ennemis. La vague d’homme était effrayante, on pouvait y voir leur formation ne pas tenir  le coup.  Tous se mirent à combattre à la moindre occasion qu’un trou se formait entre les boucliers.  Quand leur première ligne n’existait plus, une deuxième charge réapparue venant des citoyens. Les hommes habillés de rouge massacraient, aidaient et tombaient contre les gondoriens. On pouvait y voir la rage et la souffrance dans cette bataille.  Le seul moment où Karim eut le courage de tourner le dos à son adversaire, c’est quand il vu passer dans la deuxième vague son assassin.  Skaelthor était  en marche, il suivait le plan à la perfection.  Cet homme qu’il avait rencontré auparavant l’avait suivi et surpris dans sa propre maison, quand elle était très bien surveillée. Il devait être l’un des hommes les plus discret et doué dans le métier d’assassin qu’il n’avait jamais croisé dans sa vie. Il le regarda en traine de ce faufiler au travers les cadavres et la bataille jusqu’à la rive nord du Fort avec un seul but… Tuer Merezad une fois pour toute.

La bataille était de plus en plus difficile. Même avec un surplus d’homme et de renfort venant de Xsungwë de la capital Variag, le nord était tout de même les quartiers militaires du Fort Harnast. Les armes tombaient, mais les civils continuèrent avec grande persévérance leur combat acharné.  Jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’une poigner de soldat dans les murailles. Beaucoup d’entre eux décidèrent de partir vers l’extérieur de celle-ci…Mais ce fut une très mauvaise idée. Car Rasaek, Asareck et leurs hommes les attendaient à l’extérieur, avec leurs montures.  Le Royaume Réunifier était complètement encerclé et sans pouvoir face à un tel plan.  La rive nord était complètement assiégé jusqu’au dernier gondorien qui ne réussirent à survivre.

Une grande satisfaction était entendue ce matin là. La victoire était acclamée par le peuple qui avait fait couler le sang pour sa justice. Mais comme dans toutes les batailles, les mauvaises nouvelles arrivèrent aussi.  Karim finit par retrouver Skaelthor dans une salle de réunion,  pendant le grand nettoyage de cadavre, il lui apprit que Merezad n’était pas mort.  Comment est-ce possible ? Pourtant, les hommes de Rasaek faisaient leur part de l’autre côté de la porte nord.  Peut-être qu’il réussit son exploit en prenant un autre passage secret, qu’il était le seul à connaitre? L’assassin n’était pas à blâmer si l’ancien responsable d’Harnast avait quitté le jour avant la fin. L’homme de renom devait ce douté que Merezad partirait chercher de l’aide dans toutes les mesures du possible.  Pour une fois, il espérait  qu’en marche dans l’Harondor, il tombe sur une poigné de bandit. Il était bien connu, certes, mais ses connaissances n’allaient pas au-delà des hommes farouches d’Harondor.

Il envoya deux hommes de sa propre maison à la recherche de l’haradan. Espérons qu’il n’était pas trop tard, sinon le danger était à nos portes.

[Razaek]

En prévision du siège du fort Harnast Rasaek avait envoyé une dizaines d'hommes dans sa tour non loin de la frontière entre l'Harondor et lIthilien. Ceux-ci guettant toute retraite de l'ennemi vers le gondor. Chose stratégique contenu de la situation. Donc toute retraite vers le nord était couverte les hommes guettait à des kilomètres à la rondes tout ce qui s'approchait du pont. Les hommes étaient très discrèt il était très difficile de savoir qu'ils y étaient embusqués.

[Theomir]

Les sentinelles parlaient entre elles de deux silhouettes aperçues dans le lointain du fort aux premières lueurs du jour mais dont elles avaient tôt fait de perdre la trace. Ces dernières s'étaient évanouies vers l'ouest, en prenant soin de brouiller la piste à l'aide des rives de l'Harnen...

[Franky]

Plusieurs jours finirent par passer.

Les rumeurs autour du fort se faisaient entendre de plus en plus. On pouvait se faire dire que le chef avait déserté face à la révolte d’une grande majorité du peuple haradrim.  Maintenant en possession de la cité du fleuve de l’Harnen empoissonné, Karim se tenait dans l’ancien bureau de Merezad.  Son regard se posait sur tout ce qui était détenu par le bureau lui-même. Beaucoup de plan, de liste de travaux et de lettre. Mais il n’en avait pas grand intérêt. Il commençait à devenir impatient, car maintenant troublé, il savait que son rival était en chemin vers l’ennemi le plus puissant qu’il connaitrait de ça misérable vie.  Le Suderon savait très bien que si Pélargir ou Umbar atteignait les portes durement fabriqués du Fort Harnast, il n’aura pas cher de sa peau.  Des heures et des heures passèrent jusqu’à ce qu’il reçoit des missives signé anonyme. Ces explications devenaient très intéressante et peu de temps après, il fit rencontre avec son interlocuteur.

Sunjata venu lui apporter plusieurs renseignements. Celui-ci lui fit part de quelques noms comme « Derick » un lieutenant du Gondor  et « Sir Wellan », premier chevalier de Dol Amroth. Mais le plus important était à venir. L’espion eut une lourde discussion avec la personne qu’il recherchait. Merezad avait réussi à se rendre jusqu’à Minas Tirith. Les plans que le couturier détenait étaient maintenant en grand danger. Même lui n’osait pas penser à la grande puissance que l’ancienne capital  gondorienne aurait face au Fort. Les chances de survie sont à zéro. Une poignée d’homme « brigand », la cité de Varia et le fort Harnast face a Minas Tirith? Ni le nombre, ni l’outil militaire ne faisaient le poids contre eux.  Lorsque Sunjata fini de le renseigné, son plan était déjà fait.

Il envoya l’un de ses hommes porté message à son bras droit, Gallilem. Il fit quitter une missive en direction de Rasaek aussi.

Cher hommes,
L’ennemi débute un très long chemin vers la souffrance. Mais très peu de gens comme nous, réussirons à survivre face à cette terreur.  La gloire peut durer un court moment, comme éternellement. Venez-vous réfugiez au Fort Harnast, une longue discussion sur un prochain allier très spéciale aura lieux.

*La lettre n’est pas signé en cas d’interception*

Karim avait maintenant beaucoup à faire. Il n’était pas chef d’Harnast depuis longtemps, mais savait très bien que le peuple serait contre lui s’il osait s’approprier le pouvoir après de forte parole crier tout haut dans le passé. Il était là principalement pour débarrasser les vermines blanches du plancher. Maintenant, c’était à son tour de tenir parole d’honneur. 

[Franky]

Une rencontre avait eu lieu avec le mercenaire du sud. Les deux parlèrent et s'approprièrent des plans pour le futur.  Après un envoie de missive vers le Sultan de Nardjam par Rasaek, Karim prit grande décision de son côté. Au-delà des murs du fort, du haut de la plus grand bâtisse, il prit parole devant le peuple: 

« Il y a très longtemps, lorsque je fus arrivé ici… Le fort était contrôlé par le Royaume Réunifier!  Vous, le peuple, étiez soumis à des règles,  une fausse liberté et presqu’à la famine total.  Les hommes qui me suivirent tout au long de mes échelons jusqu'ici avaient pour but de protéger les villageois contre des tirants et l'injustice! Et il y a quelques semaines déjà, vous avez décidé de prendre possession du Fort Harnast et vous nous avez fait confiance!  Aujourd’hui, après avoir poussé l'ennemi de son nid, je peu affirmer que nous continuerons à vous défendre jusqu'au bout!

 C'est donc dans cette voie que je viens vous informer que le Fort Harnast n'aura plus de dictateur à ses commandes!  Avec l'aide de gens de confiance, venant du peuple lui-même, un conseil sera formé. Les gens que je et vous jugerez digne y seront à la tête!  Et finalement, avec mon aide, vous trouverez votre propre liberté!  Loin fut mon idée d'abandonner ce que vous chérissez ici. Et conseil ou non, je continuerais à vous transporter nourriture, bien matériaux et à défendre les citoyens.  Je ne peu vous caché qu'à l'arrière de ces murs, qui nous protège, se trouve peut-être notre ennemi, qui marche en notre direction pour venir reprendre ce qu’ils ont perdus!  Mais n'ayez crainte mes amis! Nous aussi nous avons nos points forts et nous ne reculerons devant rien ! »

Quand il finit, il reparti vers l’un de ses nouveaux projet personnel. Dans sa tête,  l’idée de former un conseil serait des plus glorieuses pour les habitants. Et trouver les gens d'exception ne serait pas chose facile. 

Il attendrait que Rasaek revienne avec des nouvelles du Sultan. Pour le moment, la porte nord de la forteresse était maintenant renforcée d’homme. Certains étaient des brigands, d’autre des gardes du fort ou d’autre, des hommes de Varia…Mais tous pour la liberté.

[Franky]

Une fois dans son bureau, l’un des hommes de Rasaek venu le rencontrer. Porteur d’un bon message pour lui, il se mit à le lire…

Son compagnons d’arme avait finalement réussit à rencontrer le puissant sultan dans Nardjam. Sous certaines conditions, il accepta de s’allier à leur cause de libération du sud.  Une grosse alliance venait d’être faite et la prochaine cible était déjà dans leur mire. Pour cette raison, lorsque le couturier finit par revoir le chef des mercenaires, les deux eurent une énorme discussion.

C’est ainsi qu’une fusion entre les deux guildes fut. Les loyalistes d’autre fois et d’aujourd’hui, avec la guilde de Mercenaire sous une même bannière.  Plusieurs effets étaient encore à discuter, mais il était clair que le regroupement n’aurait aucune pitié et ferait une plus grande réputation avec de grand dirigeant à leur tête. Pour le moment, tout restait encore secret.

Au Fort Harnast, tout ce m’était en place. Des troupes de Nardjam venait se joindre et se préparait toujours à une réplique du Royaumes réunifier.

[Franky]

Au moins deux mois réussirent à passer.

L’attente pour une réplique commençait à bien narguer le couturier. Comme il avait promi, il se mit en tête de rendre le Fort Harnast beaucoup plus spacieux et utile. Après plusieurs  jours, il réussit à convaincre le peuple de c’est bien fait prochain. Certaines personnes voulaient offrir leur aide et il n’eut aucune vraie réponse à leur donner.

Durant ces heures, il fit la rencontre de citoyens qu’il connaissait avant même son arrivée au Fort. De longues discutions eurent lieu et c’est ainsi qu’il trouva c’est deux premiers candidats pour former un conseil :

Sahen le Haradan =
Citoyen depuis longtemps, les générations de cet homme ont toujours aidés le peuple dans leur démarche. Depuis plusieurs années, il exerce le métier de bricoleur. Il est l’une des personnes de confiance  que beaucoup finirent par connaitre au fil du temps. Même si les clients étaient pauvres, le vaillant homme trouvait toujours un arrangement pour garder une certaine fierté à leur donner.  L’espoir et la logique sont appréciés dans le conseil.

Thais la Haradan=
Personnalité plutôt persévérante et dure citoyenne d’Harnast. Elle était  médecin durant de longue année pendant que Merezad était aux commandes du Fort. Mais elle comprit assez vite ce qui se passait et se rallia au dire de Karim. Dépendante ou corrompu? Personne ne peut vraiment le dire, mais le peuple semble très bien l’aimer. Son apprentissage et son expérience sont toujours les bienvenues dans le conseil.

Après cette fameuse récompense de satisfaction, Karim retourna vers son bureau. C’est en marchant qu’il retrouva son grand ami Gallilem, son bras droit dans la guilde secrète. Les deux se permirent de s’asseoir à l’intérieur.

-« Que puis-je faire pour toi, Gallilem? »

- « J’ai apprit qué tou était à la récherche d’oun homme fort et pouissant! Jé mé souis mit à réfflichir à toute cette histoire. Les membrés dou fléau des stéppés auront bésoin d’un membre dans lé conseil du nouveau Fort Harnast… »

Les paroles sortaient de sa bouche et elle disait la vérité. Le chef des assassins de l’ombre ne pouvait se permettre que de choisir des membres du peuple honnête et généreux. S’ils voulaient toujours avoir un mot à dire sur certain sujet, Karim se devait de trouver quelqu’un d’assez bien connu par les citoyens, aimé comme n’importe qui, mais qui pourrait avoir de bonne et forte opinion qui aiderait à pencher de leur côté.  Des jours plus tard, il fit nouvelle rencontre avec  son commandant supérieur, Razaek.  L’idée venait de lui être dévoilée de sa propre bouche. Elle n’était pas de refus. Le vieil homme lui donna une liste d’homme vaillant qui pourrait remplir la tâche à perfection.  Par la suite de l’avoir étudié, leurs choix finirent par s’arrêter sur :

Phoenix le Haradan =
La cité au fleuve suderon le connaissait sous ce nom depuis toujours. On le reconnaissait par son regard plutôt sérieux.  Homme plutôt intellectuel, il exerçait le métier de stratège et pouvait confectionner des plans de diverse taille et endroit.  Autre fois, il était souvent appelé par des clients extérieurs. Mais même s’il semblait bien normal, on disait qu’il était fort de caractère. En secrète, il était un espion intérieur travaillant pour des hommes de pouvoir. Pour cette raison, il fut choisi dans les membres du Conseil.

Lorsque le Trug Kritar du Fléau des steppes revenu, il informa la population de la trouvaille. Présentant du haut de l’énorme tour où régissait son ancien bureau, les trois membres du conseil  maintenant actif. Il expliqua aussi que ses hommes resteraient à l’intérieur du Fort Harnast pour aider la population avec des convois de nourriture…Comme à l’habitude.  D’autre place dans le conseil pourrait s’ouvrir, mais pour des raisons évidentes, ajouté du personnel serait inutile.

La zone contrôler du Fort Harnast était maintenant levé.  Karim, maintenant ancien chef, parti en direction de son Manoir. Le bricoleur resterait toujours à l’affut de cette forteresse aride.  Mais en secret, d’autre plan était encore en marche. Le conseil ne voulait pas voir les troupes alliés quitter les murailles en cas de rébellion de l’ennemi.  Le chef loyaliste resterait au courant et ce n’était encore….Que le commencement.

[Morenlor]

*Un lieutenant des armées de Gondor avait été mandaté pour une mission concernant l'affaire du fort Harnast. Les rumeurs parlaient d'un plan stratégique et d'un rassemblement de soldat...*

[Razaek]

Quelque mois avait passé déjà depuis la reconquête d’un point stratégique de l’Harondor, le fort Harnast. Avec les Loyalistes, le Fléau des steppes unis sous une même bannière et l’appui du sultan les plans de Karim et Rasaek se déroulait pour le mieux. Les deux hommes commençaient à étendre leur influence à travers le sud. Mais la partie n’était pas gagné en fait elle venait à peine de commencer.

Le Fléau des Steppes avaient gagné en renommé et en puissance quoi que encore bien méprisable comparé à leur ennemi le Royaume Réunifié, à vrai dire il était encore un pion dans l’échiquier. Au départ c’était une bande peu organisé constitué principalement de brigand et d’escroc de la pire espèce. Mais avec le temps le Krual et le Trug Kritar avaient trouvé une cause pour laquelle ce battre, la libération du sud. L’esprit de fraternité était bien présente les recrues était vite intégrer à la bande, tous étaient égaux. Rasaek et Karim se partageaient les tâches. Karim s’occupait principalement de la politique et Rasaek de transformer le Fléau en élite guerrière capable de frapper vite et fort. Donc le Fléau avait pris une nouvelle direction. Bien qu’il avait gagné en renommé il était encore très difficile d’entrer en contact avec eux. Leur processus de recrutement était encore inconnu nul ne savait comment se joindre à eux. Mais ceux qui le désirait vraiment finirait par trouver leur compte.

En attendant la riposte du nord les deux hommes n’avaient pas quitté des yeux leur objectifs. Tôt ou tard Umbar la soumise redeviendrait Umbar l’insoumise. Mais il y avait encore fort à faire. Les deux hommes avaient des yeux et des oreilles partout dans le sud. Ils rassemblaient des ressources. Les forges du Fort Harnast et de la forteresse du Fléau tournaient à toute allure. Tranquillement l’armement étaient envoyer dans leur multiples repèrent secret. Le Fort Harnast était de plus en plus bondé et même Nardjam grouillait. La politique du Royaume Réunifié n’avait jamais fait l’unanimité au sud. Un vent de rébellion balayait le sud.

Bientôt le sud serait craint à nouveau. À ce moment au Gondor ils se rappelleront les récits d’horreur, les voiles noires, les routes baignées dans l’obscurité dans lesquelles même les plus brave hésitaient à s’aventurer et les coupes gorgent qui telle la nuit vous plongent dans un cauchemar duquel jamais vous ne vous réveillez.

[Franky]

[HRP: Suite de l'histoire vers le post "L'insoumise" (http://www.turambar-uo.ca/smf/index.php?topic=15472.msg147814#msg147814)]